Des candidats à l'élection présidentielle d'octobre membres de la Coalition nationale pour le changement (CNC, opposition) appellent leurs partisans à une "marche pacifique" de protestation lundi devant la télévision nationale et la commission en charge de l'organisation du scrutin à Abidjan.
Dans une déclaration parvenue lundi à Xinhua, les candidats Essy Amara, Kouadio Konan Bertin, Mamadou Koulibaly et Charles Konan Banny appellent leurs partisans à "sortir massivement" le 28 septembre pour "une marche pacifique" devant le siège de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI, publique) et le siège de la Commission électorale indépendante (CEI).
"Nous appelons toutes les forces vives, tous les candidats, à nous rejoindre dans la marche sur la RTI et la CEI", indique la déclaration.
Les candidats de la CNC accusent le président Alassane Ouattara, candidat pour un second mandat, de s'être "approprié la télévision nationale pour faire sa propagande".
Ils demandent également "la recomposition de la CEI, la révision de ses attributions et de son mode de fonctionnement".
Au nom de ses pairs, Charles Konan Banny, le président de la CNC, a réitéré l'appel de son regroupement à "l'ouverture immédiate d'un dialogue réunissant tous les dix candidats" pour "un consensus" autour des règles électorales.
Le 9 septembre, la CNC a organisé des manifestations pour protester contre la validation de la candidature du président Alassane Ouattara à l'élection du 25 octobre, qui se sont soldées par le décès d'au moins deux personnes à Gagnoa, région natale de l'ex-président Laurent Gbagbo.
Dans une déclaration parvenue lundi à Xinhua, les candidats Essy Amara, Kouadio Konan Bertin, Mamadou Koulibaly et Charles Konan Banny appellent leurs partisans à "sortir massivement" le 28 septembre pour "une marche pacifique" devant le siège de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI, publique) et le siège de la Commission électorale indépendante (CEI).
"Nous appelons toutes les forces vives, tous les candidats, à nous rejoindre dans la marche sur la RTI et la CEI", indique la déclaration.
Les candidats de la CNC accusent le président Alassane Ouattara, candidat pour un second mandat, de s'être "approprié la télévision nationale pour faire sa propagande".
Ils demandent également "la recomposition de la CEI, la révision de ses attributions et de son mode de fonctionnement".
Au nom de ses pairs, Charles Konan Banny, le président de la CNC, a réitéré l'appel de son regroupement à "l'ouverture immédiate d'un dialogue réunissant tous les dix candidats" pour "un consensus" autour des règles électorales.
Le 9 septembre, la CNC a organisé des manifestations pour protester contre la validation de la candidature du président Alassane Ouattara à l'élection du 25 octobre, qui se sont soldées par le décès d'au moins deux personnes à Gagnoa, région natale de l'ex-président Laurent Gbagbo.