Le secrétaire général du Syndicat de la presse publique et privée de Côte d'Ivoire (Synappci), Guillaume Gbato, s'est dit préoccupé mercredi à Abidjan par la sécurité des journalistes à l'approche des élections d'octobre.
M. Gbato, qui intervenait à Abidjan lors d'une rencontre des acteurs des médias, a insisté sur les mesures à prendre pour éviter d'être les cibles en période électorale. Des journalistes vont ainsi prendre part dans les prochains jours à un atelier pour être mieux outillés en matière de couverture des élections.
"Il y a lieu de tout mettre en oeuvre pour un environnement électoral apaisé au niveau général et au niveau des médias ivoiriens", a-t-il noté.
"Notre pays a connu des crises. Lors de la crise de 2011, un journaliste ivoirien, Sylvain Gagnetau, a été tué et des sièges (de médias) ont été saccagés", a-t-il rappelé.
La Côte d'Ivoire organise le 25 octobre prochain une élection présidentielle cruciale, censée traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique dans le pays après la crise post-électorale de 2010. Mardi, la Commission électorale indépendante (CEI) s'est voulue rassurante en évoquant une sécurisation "effective" du scrutin.
M. Gbato, qui intervenait à Abidjan lors d'une rencontre des acteurs des médias, a insisté sur les mesures à prendre pour éviter d'être les cibles en période électorale. Des journalistes vont ainsi prendre part dans les prochains jours à un atelier pour être mieux outillés en matière de couverture des élections.
"Il y a lieu de tout mettre en oeuvre pour un environnement électoral apaisé au niveau général et au niveau des médias ivoiriens", a-t-il noté.
"Notre pays a connu des crises. Lors de la crise de 2011, un journaliste ivoirien, Sylvain Gagnetau, a été tué et des sièges (de médias) ont été saccagés", a-t-il rappelé.
La Côte d'Ivoire organise le 25 octobre prochain une élection présidentielle cruciale, censée traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique dans le pays après la crise post-électorale de 2010. Mardi, la Commission électorale indépendante (CEI) s'est voulue rassurante en évoquant une sécurisation "effective" du scrutin.