Abidjan - Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) exprime son soutien et sa solidarité au directeur général et à l’ensemble des journalistes de l’Edition Houri, société éditrice de l’hebdomaire Mousso d’Afrique dont le siège a été détruit par la mairie de Port-Bouët.
Dans un communiqué produit mercredi et dont copie est parvenue à l’AIP, le bureau du GEPCI s’étonne "des conditions de destruction des locaux du journal et de la célérité avec laquelle les choses se sont produites".
Dans sa mission de défense des intérêts des entreprises de presse, le président de ce groupement, Amédée Assi Adon, dit suivre cette affaire avec "la plus grande attention" après la saisine du GEPCI par un des leurs en l’occurrence le directeur général de l’Edition Houri, Sidibé Seydou.
Une équipe du ministère de l’environnement a procédé à la démolition, le 02 septembre, du siège du journal Mousso d’Afrique, à la demande de la mairie de Port-Bouët. L’opération aurait été faite sans avoir prêté attention aux arguments du directeur général, rapporte le document.
(AIP)
fmo/akn/kam
Dans un communiqué produit mercredi et dont copie est parvenue à l’AIP, le bureau du GEPCI s’étonne "des conditions de destruction des locaux du journal et de la célérité avec laquelle les choses se sont produites".
Dans sa mission de défense des intérêts des entreprises de presse, le président de ce groupement, Amédée Assi Adon, dit suivre cette affaire avec "la plus grande attention" après la saisine du GEPCI par un des leurs en l’occurrence le directeur général de l’Edition Houri, Sidibé Seydou.
Une équipe du ministère de l’environnement a procédé à la démolition, le 02 septembre, du siège du journal Mousso d’Afrique, à la demande de la mairie de Port-Bouët. L’opération aurait été faite sans avoir prêté attention aux arguments du directeur général, rapporte le document.
(AIP)
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