« Nassin, Nassin, Nassin ». Celui qui tient ces propos, qui signifient merci en langue Attié, est le porte-parole de Nanan Grégoire Assi Assi, chef du village de Banco 2 à Yopougon. Pour clore définitivement le meeting animé par la secrétaire générale du Front populaire ivoirien (FPI), Agnès Monnet, il déclare ceci : «On a maintenant tout compris. Quand on a tout compris, il n’y a plus rien à dire, plus de questions à poser ».
Comme pour dire à son hôte que les populations de ce village ont été désintoxiquées, bien servies en informations vraies et désormais mobilisées plus que jamais pour porter au soir du 25 octobre prochain, Pascal Affi N’Guessan, le candidat du FPI, au pouvoir d’Etat. Avant d’en arriver à cette conclusion heureuse, la secrétaire générale du FPI, Mme Agnès Monnet, accueillie en fanfare, à son arrivée dans ce village, a longuement parlé des enjeux de l’élection présidentielle du 25 octobre prochain.
A ces populations, notamment aux membres de l’Association des femmes de Yopougon Banco 2 (AFYB), merveilleusement endimanchées, elle a expliqué que c’est en allant aux élections que les prisonniers politiques dont Laurent Gbagbo et Blé Goudé seront libérés. C’est également, a-t-elle poursuivi, en allant aux élections que les exilés politiques rentreront dans leur pays.
« La politique de la chaise vide fera l’affaire des autres. Refusons la chaise vide. Suivez le FPI dirigé par Affi N’Guessan, et dissipez en vous la peur. Nous irons aux élections pour faire sortir Laurent Gbagbo de prison. Et celui que nous avons choisi pour réconcilier tous les Ivoiriens, c’est Pascal Affi N’Guessan», a-t-elle rassuré.
Pour Agnès Monnet, la triste réalité sociale, économique et politique sous le régime Ouattara, c’est la pauvreté grandissante des Ivoiriens, le phénomène des microbes, le rattrapage ethnique, la baisse vertigineuse des prix des produits agricoles dont le cacao, la justice des vainqueurs, la haine viscérale contre les militants du FPI, le refus de réconcilier les Ivoiriens. D’où son appel à voter massivement pour le candidat du FPI, Pascal Affi N’Guessan, le 25 octobre prochain, pour oublier cette parenthèse Ouattara.
«Si vous voyez les deux doigts pendant les élections, pensez à Laurent Gbagbo et élisez celui qui représente le FPI, Pascal Affi N’Guessan. Ceux qui ne veulent pas aller aux élections, qui ne veulent pas entendre parler d’élection, ce sont ceux-là mêmes qui accompagnent Alassane Ouattara aux élections. Nous avons fait le choix de participer aux élections parce que nous voulons diriger ce pays», a-t-elle expliqué.
Agnès Monnet qui a été choisie comme marraine de l’AFYB a offert des dons en nature et en numéraire à la chefferie traditionnelle de Yopougon Banco 2, à la chefferie traditionnelle d’Andé, un village de la sous-préfecture d’Agou, représentée à ce meeting par Pierre Anassé Achi, et à cette association des femmes présidée par Mme Marie-Jeanne Ahoussi.
Charles Bédé
Comme pour dire à son hôte que les populations de ce village ont été désintoxiquées, bien servies en informations vraies et désormais mobilisées plus que jamais pour porter au soir du 25 octobre prochain, Pascal Affi N’Guessan, le candidat du FPI, au pouvoir d’Etat. Avant d’en arriver à cette conclusion heureuse, la secrétaire générale du FPI, Mme Agnès Monnet, accueillie en fanfare, à son arrivée dans ce village, a longuement parlé des enjeux de l’élection présidentielle du 25 octobre prochain.
A ces populations, notamment aux membres de l’Association des femmes de Yopougon Banco 2 (AFYB), merveilleusement endimanchées, elle a expliqué que c’est en allant aux élections que les prisonniers politiques dont Laurent Gbagbo et Blé Goudé seront libérés. C’est également, a-t-elle poursuivi, en allant aux élections que les exilés politiques rentreront dans leur pays.
« La politique de la chaise vide fera l’affaire des autres. Refusons la chaise vide. Suivez le FPI dirigé par Affi N’Guessan, et dissipez en vous la peur. Nous irons aux élections pour faire sortir Laurent Gbagbo de prison. Et celui que nous avons choisi pour réconcilier tous les Ivoiriens, c’est Pascal Affi N’Guessan», a-t-elle rassuré.
Pour Agnès Monnet, la triste réalité sociale, économique et politique sous le régime Ouattara, c’est la pauvreté grandissante des Ivoiriens, le phénomène des microbes, le rattrapage ethnique, la baisse vertigineuse des prix des produits agricoles dont le cacao, la justice des vainqueurs, la haine viscérale contre les militants du FPI, le refus de réconcilier les Ivoiriens. D’où son appel à voter massivement pour le candidat du FPI, Pascal Affi N’Guessan, le 25 octobre prochain, pour oublier cette parenthèse Ouattara.
«Si vous voyez les deux doigts pendant les élections, pensez à Laurent Gbagbo et élisez celui qui représente le FPI, Pascal Affi N’Guessan. Ceux qui ne veulent pas aller aux élections, qui ne veulent pas entendre parler d’élection, ce sont ceux-là mêmes qui accompagnent Alassane Ouattara aux élections. Nous avons fait le choix de participer aux élections parce que nous voulons diriger ce pays», a-t-elle expliqué.
Agnès Monnet qui a été choisie comme marraine de l’AFYB a offert des dons en nature et en numéraire à la chefferie traditionnelle de Yopougon Banco 2, à la chefferie traditionnelle d’Andé, un village de la sous-préfecture d’Agou, représentée à ce meeting par Pierre Anassé Achi, et à cette association des femmes présidée par Mme Marie-Jeanne Ahoussi.
Charles Bédé