Soubré - Le président du front populaire ivoirien (FPI, opposition), Pascal Affi N’guessan se dit confiant en des élections sans violence et assure que sa victoire sera "sans bavure et personne ne pourra contester".
Selon Affi sa candidature ne peut être considérée comme une trahison, mais plutôt comme un acte de démocratie, affirmant à cet effet "si je n’ai pas fait a llégeance le 11 avril 2011, ce n’est pas maintenant. Je ne roule pas pour Ouattara. C’est pour le FPI que je demande d’aller aux élections pour chasser Ouattara du pouvoir. Cette année les élections vont se dérouler sans violence, et notre victoire sera sans bavure et personne ne pourra contester".
Le président du FPI estime que "Ouattara n’a plus de bouclier. Je viens vous voir donc pour qu’on se mette ensemble et gagner au soir du 25 octobre, car je suis le candidat de la Côte d’Ivoire et non du FPI. Tous donc aux urnes le 25 octobre prochain pour mettre fin à la souffrance des Ivoiriens", a-t-il invité à chacune des étapes de sa tournée.
Et d’ajouter "la politique ce n’est pas la violence. La politique c’est la recherche du compromis, c’est la négociation, le dialogue. Des gens n&rsq uo;ont pas encore la maturité politique, c’est pourquoi ils usent de la violence. Nous au FPI, nous avons des valeurs que nous devons respecter. Nous devons savoir que notre leader a joué un grand rôle dans la démocratisation de notre pays".
Les Ivoiriens s’apprêtent à aller aux élections pour élire, le 25 octobre leur président. 10 candidats sont en lice pour ce scrutin.
km/ask
Selon Affi sa candidature ne peut être considérée comme une trahison, mais plutôt comme un acte de démocratie, affirmant à cet effet "si je n’ai pas fait a llégeance le 11 avril 2011, ce n’est pas maintenant. Je ne roule pas pour Ouattara. C’est pour le FPI que je demande d’aller aux élections pour chasser Ouattara du pouvoir. Cette année les élections vont se dérouler sans violence, et notre victoire sera sans bavure et personne ne pourra contester".
Le président du FPI estime que "Ouattara n’a plus de bouclier. Je viens vous voir donc pour qu’on se mette ensemble et gagner au soir du 25 octobre, car je suis le candidat de la Côte d’Ivoire et non du FPI. Tous donc aux urnes le 25 octobre prochain pour mettre fin à la souffrance des Ivoiriens", a-t-il invité à chacune des étapes de sa tournée.
Et d’ajouter "la politique ce n’est pas la violence. La politique c’est la recherche du compromis, c’est la négociation, le dialogue. Des gens n&rsq uo;ont pas encore la maturité politique, c’est pourquoi ils usent de la violence. Nous au FPI, nous avons des valeurs que nous devons respecter. Nous devons savoir que notre leader a joué un grand rôle dans la démocratisation de notre pays".
Les Ivoiriens s’apprêtent à aller aux élections pour élire, le 25 octobre leur président. 10 candidats sont en lice pour ce scrutin.
km/ask