Le Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (Unhcr) organise en collaboration avec Open Society Initiative for West Africa (Osiwa), Open Society Africa Regional Office (Afro) et Open Society Justice Initiative (Osji), la conférence consultative d’Afrique de l’Ouest sur le droit à la nationalité et l’apatridie. Ouverte le lundi 28 septembre 2015 dans un hôtel à Abidjan-Plateau, elle prendra fin ce mercredi 30 septembre 2015.
Il était question pour les responsables des structures précitées, de mettre en lumière les décisions issues de la conférence ministérielle régionale sur l’apatridie à Abidjan. Selon M. Mohamed Touré le représentant de l’Unhcr en Côte d’Ivoire, ces résolutions sont les premières dans la lutte contre l’apatridie à être entérinées par les chefs d’Etats de l’Afrique de l’Ouest. Pour lui, seule l’action et la volonté de l’homme pourront mettre fin à cette plaie dénommée apatridie. « Créée par l’homme, l’apatridie peut être détruite par lui (…) Le mouvement pour mettre fin à l’apatridie est en marche », a-t-il dit. Avant d’ajouter que « cette conférence représente l’occasion unique de mettre en pratique les résolutions qui seront arrêtées par les différentes commissions ». Pour les représentants des pays de la Cedeao, tout le monde est une proie probable de l’apatridie.
Plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest prennent part à cette table ronde de réflexion sur l’apatridie et le droit à la nationalité. Ce sont le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Libéria, le Mali, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone, la Gambie et le Togo. Le Niger est le seul pays sur les 14 Etats convoqués à manquer à l’appel.
« Citoyenneté régionale : le Droit du citoyen de la Cedeao », « Nationalité et Apatridie en Afrique de l’Ouest », « Lacunes juridiques et administratives, principaux facteurs de l’apatridie », sont entre autres les thèmes qui seront abordés par les différentes commissions et délégations au cours des discussions. Un communiqué final sur les mesures et dispositions à prendre pour une lutte efficiente contre l’apatridie est prévu au terme de la conférence le mercredi 30 septembre 2015.
Notons que les études ont montré que près de 10 millions de personnes dans le monde vivent sans nationalité.
R-O
Il était question pour les responsables des structures précitées, de mettre en lumière les décisions issues de la conférence ministérielle régionale sur l’apatridie à Abidjan. Selon M. Mohamed Touré le représentant de l’Unhcr en Côte d’Ivoire, ces résolutions sont les premières dans la lutte contre l’apatridie à être entérinées par les chefs d’Etats de l’Afrique de l’Ouest. Pour lui, seule l’action et la volonté de l’homme pourront mettre fin à cette plaie dénommée apatridie. « Créée par l’homme, l’apatridie peut être détruite par lui (…) Le mouvement pour mettre fin à l’apatridie est en marche », a-t-il dit. Avant d’ajouter que « cette conférence représente l’occasion unique de mettre en pratique les résolutions qui seront arrêtées par les différentes commissions ». Pour les représentants des pays de la Cedeao, tout le monde est une proie probable de l’apatridie.
Plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest prennent part à cette table ronde de réflexion sur l’apatridie et le droit à la nationalité. Ce sont le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Libéria, le Mali, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone, la Gambie et le Togo. Le Niger est le seul pays sur les 14 Etats convoqués à manquer à l’appel.
« Citoyenneté régionale : le Droit du citoyen de la Cedeao », « Nationalité et Apatridie en Afrique de l’Ouest », « Lacunes juridiques et administratives, principaux facteurs de l’apatridie », sont entre autres les thèmes qui seront abordés par les différentes commissions et délégations au cours des discussions. Un communiqué final sur les mesures et dispositions à prendre pour une lutte efficiente contre l’apatridie est prévu au terme de la conférence le mercredi 30 septembre 2015.
Notons que les études ont montré que près de 10 millions de personnes dans le monde vivent sans nationalité.
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