Le Directeur régional de campagne associé dans la région du Kabadougou, Famoussa Kamara, par ailleurs Membre du Bureau Politique et Coordonnateur régional du Grand Conseil du PDCI-RDA, nous donne la situation dans la région du Kabadougou.
Vous étiez le PCO pour l’installation de l’équipe de campagne du Président Alassane Ouattara à Odienné. Quel bilan pouvez-vous faire après cette cérémonie ?
A la faveur de l’installation de l’équipe de campagne du président Alassane Ouattara le 06 Septembre 2015, nous avons assisté à une fête qui a connu une mobilisation extraordinaire. En ma qualité de Directeur régional de campagne associé et Président du Comité d’organisation de cette cérémonie, je voudrais remercier sincèrement Monsieur l’Inspecteur Général d’Etat, M. Niamien N’Goran qui a installé notre équipe. Mes remerciements vont également à l’endroit des militantes et militants du RHDP, de nos autorités traditionnelles, religieuses et à l’ensemble des populations. La cérémonie a été une réussite grâce à la conjugaison des efforts des cadres de la région et de l’amour naturel que ces populations ont pour leur fils : Alassane Ouattara.
La mobilisation que vous avez constatée vous rassure-t-elle ?
La mobilisation exceptionnelle que nous avons connue est l’expression de l’attachement sans réserve des populations du Kabadougou au président Alassane Ouattara pour sa brillante réélection dès le premier tour le 25 octobre prochain. Comme j’ai eu à le dire, le Kabadougou n’est pas une région comme les autres. C’est la terre du président Alassane Ouattara.
Dans le Kabadougou, y’a pas match. Car les populations veulent sortir de la pauvreté. Avec ADO, le Kabadougou et la Côte d’Ivoire auront des activités génératrices de revenus. Avec ADO, tous les enfants seront scolarisés. Avec ADO, le monde rural sera développé. Avec ADO, ce sont des routes, des Universités, du travail pour tous…Pourquoi donc aller à l’aventure ? Les populations veulent le bonheur. La plate forme du RHDP est le seul moyen pour y parvenir. Le président Alassane Ouattara, lors de son investiture, le samedi 25 avril au stade Félix Houphouët-Boigny, nous a enseignés une chose et je le cite : « Ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui aurait pu nous diviser. Le mur RHDP n’est pas fissuré. Il est solide ! Nous formons un bloc solide, un roc.
Nous avançons en rang serré, main dans la main, sous la houlette du Président Bédié. Parce que loin d’être seulement un appel de raison, l’Appel de Daoukro est aussi comme il le dit lui-même, un appel du cœur. Un appel d’amour.
L’amour que nous prônons entre les Ivoiriens pour une Côte d’Ivoire réconciliée ».
Nous devons donc rester unis et surtout être solidaires pour gagner. C’est seulement cela qui pourra donner un deuxième mandat au Président Alassane Ouattara et faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Et la Côte d’Ivoire émergente créera suffisamment de richesses et les redistribuera de façon équitable, pour faire reculer la pauvreté. A la lumière de ce que je viens de vous dire, je pense que le bilan est largement positif. Dans le Kabadougou, la campagne est achevée.
Vous êtes cadre du PDCI-RDA, dans le cadre du RHDP, comment travaillez-vous pour la réélection du Président Alassane Ouattara?
Le travail que nous effectuons sur le terrain s’inscrit dans la droite ligne tracée par l’Appel de Daoukro. Pour ce faire, tous les partis politiques qui composent notre rassemblement conjuguent leurs efforts pour la sensibilisation des populations. Comme je l’ai déjà dit, le Kabadougou n’a pas véritablement besoin de convaincre les populations pour voter ADO. Nous avons d’autres défis à relever.
Quels sont ces défis ?
Le premier défi consiste à former nos militants au vote. Nous voulons surtout éviter les bulletins nuls. Monsieur l’Inspecteur Général d’Etat, M. Niamien N’Goran, nous a donné des instructions fermes sur ce point et nous devons y parvenir effectivement. Le deuxième défi consiste à s’assurer que les populations disposent de documents administratifs nécessaires au vote. Le troisième défi est de nous assurer que les populations se déplaceront massivement le jour du vote et surtout éviter de penser que « de toutes les façons, ADO gagne donc je reste à la maison » non. Nous comptons mettre fin à ces genres de préjugés. Il faut aller voter effectivement
Les populations attendent l’amélioration de leurs conditions de vie. Quelle est la contribution des cadres du Kabadougou pour relever ce défi ?
Je vous remercie pour cette question. Je voudrais dire à vos lecteurs que je suis Ingénieur agro-alimentaire et expert en développement international. Par conséquent, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans le Kabadougou, idée d’ailleurs chère au Président Alassane Ouattara, nous pouvons être d’un apport non négligeable. Dans la perspective d’un développement durable de la région, j’ai effectué une tournée dans la région, qui a précisément eu lieu du 16 au 23 juillet 2012. La région de Kabadougou est, malgré sa situation géographique, privilégiée de la région (zone frontalière d’au moins 2 pays), malgré ses ressources naturelles et humaines riches et disponibles, les populations de la région du Kabadougou sont toujours confrontées, depuis des décennies, aux paradoxes du développement.
Que pensez-vous qu’il faut faire ?
D’abord, il faudrait une mobilisation des fils à la gouvernance intégrante. Nous devons tous être solidaires, unis dans les prises de décisions. Ensuite, nous devons élaborer ou actualiser un plan stratégique de développement de la région du Kabadougou. Enfin, à partir d’un encadrement technique et financier cohérents, nous pourrons encore laisser une belle histoire à la postérité, aux nombreuses progénitures dans la région.
Interview réalisée par D.A
Vous étiez le PCO pour l’installation de l’équipe de campagne du Président Alassane Ouattara à Odienné. Quel bilan pouvez-vous faire après cette cérémonie ?
A la faveur de l’installation de l’équipe de campagne du président Alassane Ouattara le 06 Septembre 2015, nous avons assisté à une fête qui a connu une mobilisation extraordinaire. En ma qualité de Directeur régional de campagne associé et Président du Comité d’organisation de cette cérémonie, je voudrais remercier sincèrement Monsieur l’Inspecteur Général d’Etat, M. Niamien N’Goran qui a installé notre équipe. Mes remerciements vont également à l’endroit des militantes et militants du RHDP, de nos autorités traditionnelles, religieuses et à l’ensemble des populations. La cérémonie a été une réussite grâce à la conjugaison des efforts des cadres de la région et de l’amour naturel que ces populations ont pour leur fils : Alassane Ouattara.
La mobilisation que vous avez constatée vous rassure-t-elle ?
La mobilisation exceptionnelle que nous avons connue est l’expression de l’attachement sans réserve des populations du Kabadougou au président Alassane Ouattara pour sa brillante réélection dès le premier tour le 25 octobre prochain. Comme j’ai eu à le dire, le Kabadougou n’est pas une région comme les autres. C’est la terre du président Alassane Ouattara.
Dans le Kabadougou, y’a pas match. Car les populations veulent sortir de la pauvreté. Avec ADO, le Kabadougou et la Côte d’Ivoire auront des activités génératrices de revenus. Avec ADO, tous les enfants seront scolarisés. Avec ADO, le monde rural sera développé. Avec ADO, ce sont des routes, des Universités, du travail pour tous…Pourquoi donc aller à l’aventure ? Les populations veulent le bonheur. La plate forme du RHDP est le seul moyen pour y parvenir. Le président Alassane Ouattara, lors de son investiture, le samedi 25 avril au stade Félix Houphouët-Boigny, nous a enseignés une chose et je le cite : « Ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui aurait pu nous diviser. Le mur RHDP n’est pas fissuré. Il est solide ! Nous formons un bloc solide, un roc.
Nous avançons en rang serré, main dans la main, sous la houlette du Président Bédié. Parce que loin d’être seulement un appel de raison, l’Appel de Daoukro est aussi comme il le dit lui-même, un appel du cœur. Un appel d’amour.
L’amour que nous prônons entre les Ivoiriens pour une Côte d’Ivoire réconciliée ».
Nous devons donc rester unis et surtout être solidaires pour gagner. C’est seulement cela qui pourra donner un deuxième mandat au Président Alassane Ouattara et faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Et la Côte d’Ivoire émergente créera suffisamment de richesses et les redistribuera de façon équitable, pour faire reculer la pauvreté. A la lumière de ce que je viens de vous dire, je pense que le bilan est largement positif. Dans le Kabadougou, la campagne est achevée.
Vous êtes cadre du PDCI-RDA, dans le cadre du RHDP, comment travaillez-vous pour la réélection du Président Alassane Ouattara?
Le travail que nous effectuons sur le terrain s’inscrit dans la droite ligne tracée par l’Appel de Daoukro. Pour ce faire, tous les partis politiques qui composent notre rassemblement conjuguent leurs efforts pour la sensibilisation des populations. Comme je l’ai déjà dit, le Kabadougou n’a pas véritablement besoin de convaincre les populations pour voter ADO. Nous avons d’autres défis à relever.
Quels sont ces défis ?
Le premier défi consiste à former nos militants au vote. Nous voulons surtout éviter les bulletins nuls. Monsieur l’Inspecteur Général d’Etat, M. Niamien N’Goran, nous a donné des instructions fermes sur ce point et nous devons y parvenir effectivement. Le deuxième défi consiste à s’assurer que les populations disposent de documents administratifs nécessaires au vote. Le troisième défi est de nous assurer que les populations se déplaceront massivement le jour du vote et surtout éviter de penser que « de toutes les façons, ADO gagne donc je reste à la maison » non. Nous comptons mettre fin à ces genres de préjugés. Il faut aller voter effectivement
Les populations attendent l’amélioration de leurs conditions de vie. Quelle est la contribution des cadres du Kabadougou pour relever ce défi ?
Je vous remercie pour cette question. Je voudrais dire à vos lecteurs que je suis Ingénieur agro-alimentaire et expert en développement international. Par conséquent, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans le Kabadougou, idée d’ailleurs chère au Président Alassane Ouattara, nous pouvons être d’un apport non négligeable. Dans la perspective d’un développement durable de la région, j’ai effectué une tournée dans la région, qui a précisément eu lieu du 16 au 23 juillet 2012. La région de Kabadougou est, malgré sa situation géographique, privilégiée de la région (zone frontalière d’au moins 2 pays), malgré ses ressources naturelles et humaines riches et disponibles, les populations de la région du Kabadougou sont toujours confrontées, depuis des décennies, aux paradoxes du développement.
Que pensez-vous qu’il faut faire ?
D’abord, il faudrait une mobilisation des fils à la gouvernance intégrante. Nous devons tous être solidaires, unis dans les prises de décisions. Ensuite, nous devons élaborer ou actualiser un plan stratégique de développement de la région du Kabadougou. Enfin, à partir d’un encadrement technique et financier cohérents, nous pourrons encore laisser une belle histoire à la postérité, aux nombreuses progénitures dans la région.
Interview réalisée par D.A