Abidjan - La ministre de la communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine exhorte les acteurs des médias à "travailler avec respnsabilité et professionnalisme", afin que les médias puissent apporter leur contribution, "malgré la diversité des lignes éditoriales, à renforc er la cohésion sociale, la réconciliation nationale et la paix".
Me Affoussiata Bamba, s'exprimait, lundi, à l'ouverture du colloque international d'Abidjan sur la liberté de la presse autour du thème "liberté de la presse en Afrique: mythe ou réalité".
Pour la porte-parole adjointe du Gouvernement, la presse doit fonder son action sur le duo "responsabilité/professionnalisme" pour jouer pleinement le rôle qui lui est dévolu, en ce que "les Etats, par des actions concrètes oeuvrent pour l'émergence d'une presse forte, libre et démocratique (...) au même titre que l'éducation, la santé, les infrastructures routières, électriques et hydraulique".
Elle en veut pour preuve la mise en place du fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP). Le président Ouattara, "s'est aussitôt investi, dès son investiture, le 21 mai 2011, dans le développement de son pays et des médias".
Le FSDP a financé à hauteur de 800 millions FCFA l'impression de 26 entreprises de presse privée durant six mois en 2014, "toutes lignes éditoriales confondues, à savoir celles proches du pouvoir comme celles de l'opposition", a-t-elle rappelé.
"De 2010 à ce jour, ce sont au total cinq milliards FCFA qui ont été consentis par le FDSP pour appuyer l'ensemble des médias ivoiriens", a soutenu la ministre de la communication, soulignant que "cette subvention a été l'un des principaux déclencheurs de l'application effective de la convention collective de la presse et de l'amélioration des conditions de vie et de travail de nombreux journ alistes".
A cela s'ajoute, au plan institutionnel, la loi du 23 décembre 2013 relative à l'accès à l'information d'intérêt public, entrée en vigueur, le 12 juin 2015, a renchéri Me Bamba-Lamine.
Cette "attention gouvernementale pour les médias" relève de ce que "l'objectif cher au gouvernement est de faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent à l'horizon 2020. Cela ne saurait se réaliser si les médias ne jouent pas pleinement leur partition avec responsabilité et professionnalisme", a insisté la ministre de la communication, en présence du président de l'Assemblée nationale, Soro Guillaume, parrain de la cérémonie.
ask
Me Affoussiata Bamba, s'exprimait, lundi, à l'ouverture du colloque international d'Abidjan sur la liberté de la presse autour du thème "liberté de la presse en Afrique: mythe ou réalité".
Pour la porte-parole adjointe du Gouvernement, la presse doit fonder son action sur le duo "responsabilité/professionnalisme" pour jouer pleinement le rôle qui lui est dévolu, en ce que "les Etats, par des actions concrètes oeuvrent pour l'émergence d'une presse forte, libre et démocratique (...) au même titre que l'éducation, la santé, les infrastructures routières, électriques et hydraulique".
Elle en veut pour preuve la mise en place du fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP). Le président Ouattara, "s'est aussitôt investi, dès son investiture, le 21 mai 2011, dans le développement de son pays et des médias".
Le FSDP a financé à hauteur de 800 millions FCFA l'impression de 26 entreprises de presse privée durant six mois en 2014, "toutes lignes éditoriales confondues, à savoir celles proches du pouvoir comme celles de l'opposition", a-t-elle rappelé.
"De 2010 à ce jour, ce sont au total cinq milliards FCFA qui ont été consentis par le FDSP pour appuyer l'ensemble des médias ivoiriens", a soutenu la ministre de la communication, soulignant que "cette subvention a été l'un des principaux déclencheurs de l'application effective de la convention collective de la presse et de l'amélioration des conditions de vie et de travail de nombreux journ alistes".
A cela s'ajoute, au plan institutionnel, la loi du 23 décembre 2013 relative à l'accès à l'information d'intérêt public, entrée en vigueur, le 12 juin 2015, a renchéri Me Bamba-Lamine.
Cette "attention gouvernementale pour les médias" relève de ce que "l'objectif cher au gouvernement est de faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent à l'horizon 2020. Cela ne saurait se réaliser si les médias ne jouent pas pleinement leur partition avec responsabilité et professionnalisme", a insisté la ministre de la communication, en présence du président de l'Assemblée nationale, Soro Guillaume, parrain de la cérémonie.
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