Un atelier de réflexion s’est ouvert mardi à Abidjan à la Maison de l’Entreprise au Plateau, dans l’optique de plancher sur l’intégration des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC), dans la formation professionnelle en Côte d’Ivoire.
Initié par le Centre Ivoirien pour le Développement de la Formation Professionnelle (CIDFOR), en partenariat avec la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), cet atelier se tient sous le thème : « la promotion du numérique dans les établissements de formation professionnelle ».
Selon la directrice du CIDFOR, Mme Brigitte AGNISSAN, les TIC occupent une place prépondérante dans la société moderne et il serait important de diffuser l’usage des TIC dans l’éducation professionnelle. "Les TIC constituent un enjeu majeur pour l’école et les élèves, il faudrait surement inventer et réinventer l’école", a-t-elle ajouté.
Pour le représentant de la CGECI, M. Edouard LADOUYOU, responsable du département, en charge des questions Sociale, Emploi, formation et recherche de la CGECI, cet atelier doit permettre de mobiliser un projet, grâce aux réflexions qui sortiront, afin d’intégrer les NTIC dans la formation professionnelle. "Au nom du Président de la CGECI, nous saluons la détermination du CIDFOR, pour le partenariat signé entre le secteur privé et vous", s’est-il exprimé.
Le représentant du Ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, M. AZAGOH, inspecteur général, coordonnateur général dudit ministère, a quant à lui félicité le partenariat engagé entre le secteur privé et l’Etat, qu’il a qualifié d’ "actif et de fort". Il a également souhaité que les TIC soient introduits dans la formation professionnelle, afin que les enseignants se mettent à niveau et dispensent les cours de façon professionnelle.
Un exposé de cadrage du thème de l’atelier, dit par M. Joas SE, a permis de faire l’état des lieux de l’enseignement professionnel, entre autres, l’insuffisance et la vétusté des infrastructures de formation professionnelle et l’effectif pléthorique pour un encadrement insuffisant. Concernant la problématique en rapport avec le secteur privé, M. SE a fait cas de la demande croissante pour des qualifications toujours plus élevé et la nécessité d’une mise à niveau (requalification) professionnelle, pour accompagner la formation professionnelle.
Cet atelier qui se déroule sur 2 jours a pour objectif notamment de mener une réflexion globale sur l’intégration des TIC dans la formation professionnelle en Côte d’Ivoire ; proposer une stratégie nationale cohérente de mise en œuvre impliquant les partenaires techniques et financiers nationaux et internationaux et définir les indicateurs de performances pédagogiques nécessaires au suivi-évaluation de l’impact des technologies numériques sur les apprentissages, dans les domaines techniques et professionnels.
Il regroupe les entités de la Formation professionnelle dudit Ministère, les entreprises réunies au sein de la CGECI, la Banque Mondiale et les Ambassades (Corée du Sud, USA, Canada).
Plusieurs panels sont prévus dont celui traitant de: « La problématique de l’intégration des TIC dans la formation professionnelle et techniques et intérêts du secteur privé ; Stratégie nationale de mise en œuvre ».
Comme résultats attendus, l’on cite, la démarche pédagogique dans la formation professionnelle intégrant les TIC ; la stratégie de développement des infrastructures et des contenus de formation ; la politique de formation et d’engagement des acteurs de la formation professionnelle et le plan de mobilisation des ressources financières.
R. KRA
Initié par le Centre Ivoirien pour le Développement de la Formation Professionnelle (CIDFOR), en partenariat avec la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), cet atelier se tient sous le thème : « la promotion du numérique dans les établissements de formation professionnelle ».
Selon la directrice du CIDFOR, Mme Brigitte AGNISSAN, les TIC occupent une place prépondérante dans la société moderne et il serait important de diffuser l’usage des TIC dans l’éducation professionnelle. "Les TIC constituent un enjeu majeur pour l’école et les élèves, il faudrait surement inventer et réinventer l’école", a-t-elle ajouté.
Pour le représentant de la CGECI, M. Edouard LADOUYOU, responsable du département, en charge des questions Sociale, Emploi, formation et recherche de la CGECI, cet atelier doit permettre de mobiliser un projet, grâce aux réflexions qui sortiront, afin d’intégrer les NTIC dans la formation professionnelle. "Au nom du Président de la CGECI, nous saluons la détermination du CIDFOR, pour le partenariat signé entre le secteur privé et vous", s’est-il exprimé.
Le représentant du Ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, M. AZAGOH, inspecteur général, coordonnateur général dudit ministère, a quant à lui félicité le partenariat engagé entre le secteur privé et l’Etat, qu’il a qualifié d’ "actif et de fort". Il a également souhaité que les TIC soient introduits dans la formation professionnelle, afin que les enseignants se mettent à niveau et dispensent les cours de façon professionnelle.
Un exposé de cadrage du thème de l’atelier, dit par M. Joas SE, a permis de faire l’état des lieux de l’enseignement professionnel, entre autres, l’insuffisance et la vétusté des infrastructures de formation professionnelle et l’effectif pléthorique pour un encadrement insuffisant. Concernant la problématique en rapport avec le secteur privé, M. SE a fait cas de la demande croissante pour des qualifications toujours plus élevé et la nécessité d’une mise à niveau (requalification) professionnelle, pour accompagner la formation professionnelle.
Cet atelier qui se déroule sur 2 jours a pour objectif notamment de mener une réflexion globale sur l’intégration des TIC dans la formation professionnelle en Côte d’Ivoire ; proposer une stratégie nationale cohérente de mise en œuvre impliquant les partenaires techniques et financiers nationaux et internationaux et définir les indicateurs de performances pédagogiques nécessaires au suivi-évaluation de l’impact des technologies numériques sur les apprentissages, dans les domaines techniques et professionnels.
Il regroupe les entités de la Formation professionnelle dudit Ministère, les entreprises réunies au sein de la CGECI, la Banque Mondiale et les Ambassades (Corée du Sud, USA, Canada).
Plusieurs panels sont prévus dont celui traitant de: « La problématique de l’intégration des TIC dans la formation professionnelle et techniques et intérêts du secteur privé ; Stratégie nationale de mise en œuvre ».
Comme résultats attendus, l’on cite, la démarche pédagogique dans la formation professionnelle intégrant les TIC ; la stratégie de développement des infrastructures et des contenus de formation ; la politique de formation et d’engagement des acteurs de la formation professionnelle et le plan de mobilisation des ressources financières.
R. KRA