La Côte d’Ivoire a abrité du lundi 5 au mardi 6 octobre 2015, son premier colloque sur la liberté de la presse en Afrique. Avec pour thème général « Liberté de la presse en Afrique : mythe ou réalité ? », le colloque a été placé sous la présidence de Me Affoussiata Bamba Lamine, ministre de la Communication, et sous le parrainage de Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale. A l’issue de ce colloque, plusieurs décisions ont été arrêtées pour la bonne marche de la presse en Afrique.
Les participants venus de plusieurs pays d’Afrique ( Mali, Burkina Faso, Ghana, Guinée, Niger, Sénégal, Cameroun, Tchad, Gabon, Maroc, Tunisie, Ouganda, Ethipopie, Kenya, Madagascar, République de Maurice et Côte d’Ivoire) et de la France, ont opté pour le thème « La liberté de la presse en Afrique : enjeux, défis et perspectives ». Au nombre des résolutions présentées en présence de Me Affoussiata Bamba Lamine, figurent les modalités d’accès au métier de journaliste. Sur ce point, le colloque a fait ressortir qu’un journaliste bien formé exerce son métier de façon professionnelle et s’adapte facilement aux mutations constantes de la profession. Par conséquent, les Etats doivent renforcer les capacités et les moyens des structures de formation. Les participants ont également relevé les conditions d’exercice du métier de journaliste que sont : créer un cadre juridique favorable à l’exercice du métier de journaliste ; supprimer la peine privative de liberté pour les journalistes, réduire les amendes auxquelles les entreprises de presse et les journalistes peuvent être exposés ; garantir la sécurité des journalistes, des entreprises de presse et la confidentialité des sources d’information ; favoriser l’accès à l’information d’intérêt publique ; favoriser l’accès aux médias de services publics ; garantir l’indépendance des instances de régulation des médias ; faciliter l’exercice de la liberté syndicale des journalistes.
Les participants venus de plusieurs pays d’Afrique ( Mali, Burkina Faso, Ghana, Guinée, Niger, Sénégal, Cameroun, Tchad, Gabon, Maroc, Tunisie, Ouganda, Ethipopie, Kenya, Madagascar, République de Maurice et Côte d’Ivoire) et de la France, ont opté pour le thème « La liberté de la presse en Afrique : enjeux, défis et perspectives ». Au nombre des résolutions présentées en présence de Me Affoussiata Bamba Lamine, figurent les modalités d’accès au métier de journaliste. Sur ce point, le colloque a fait ressortir qu’un journaliste bien formé exerce son métier de façon professionnelle et s’adapte facilement aux mutations constantes de la profession. Par conséquent, les Etats doivent renforcer les capacités et les moyens des structures de formation. Les participants ont également relevé les conditions d’exercice du métier de journaliste que sont : créer un cadre juridique favorable à l’exercice du métier de journaliste ; supprimer la peine privative de liberté pour les journalistes, réduire les amendes auxquelles les entreprises de presse et les journalistes peuvent être exposés ; garantir la sécurité des journalistes, des entreprises de presse et la confidentialité des sources d’information ; favoriser l’accès à l’information d’intérêt publique ; favoriser l’accès aux médias de services publics ; garantir l’indépendance des instances de régulation des médias ; faciliter l’exercice de la liberté syndicale des journalistes.