ABIDJAN -- L'Union africaine (UA) va déployer en Côte d'Ivoire une soixantaine d'observateurs internationaux en vue de l'élection présidentielle du 25 octobre dans le pays, a-t-on appris mardi de source officielle.
"L'heure a sonné de faire venir des observateurs commis à la tâche d'observer l'élection présidentielle", a déclaré la représentante de l'UA à Abidjan, Joséphine Charlotte Mayamakala.
"D'ici la fin de la semaine, nos observateurs seront là", a assuré Mme Mayamakala.
A l'en croire, 40 personnes vont arriver et, "de manière progressive", le nombre va s'accroître pour atteindre une "soixantaine" d'observateurs internationaux.
Outre l'Union africaine, des organisations de la société civile ivoirienne prévoient de déployer des observateurs sur l'ensemble du territoire ivoirien.
La Plate-forme de la société civile pour l'organisation des élections (POECI), une coalition de 14 associations, va déployer le jour du scrutin près de 800 observateurs dans des bureaux de vote choisis au hasard sur l'ensemble du territoire ivoirien.
Ces observateurs "impartiaux et indépendants" vont rapporter tout incident dans les bureaux de vote où ils sont installés.
La POECI annonce également l'expérimentation d'une nouvelle méthode de comptage rapide des votes pour éviter les contestations et les violences post-électorales.
La Commission électorale indépendante (CEI) a annoncé que près de 20.000 bureaux de vote seront ouverts sur le territoire national et dans 19 représentations diplomatiques pour le scrutin du 25 octobre.
Au total huit candidats dont le président sortant, Alassane Ouattara, sont en lice.
Deux candidats, l'ex-président de l'Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, et l'ex-ministre des Affaires étrangères, Essy Amara, ont retiré leur candidature, estimant que "les conditions ne sont pas réunies" pour un scrutin "transparent et équitable".
Le scrutin à venir est crucial pour la normalisation de la vie politique et le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire après les violences post-électorales de 2010 qui ont fait au moins 3.000 morts.
"L'heure a sonné de faire venir des observateurs commis à la tâche d'observer l'élection présidentielle", a déclaré la représentante de l'UA à Abidjan, Joséphine Charlotte Mayamakala.
"D'ici la fin de la semaine, nos observateurs seront là", a assuré Mme Mayamakala.
A l'en croire, 40 personnes vont arriver et, "de manière progressive", le nombre va s'accroître pour atteindre une "soixantaine" d'observateurs internationaux.
Outre l'Union africaine, des organisations de la société civile ivoirienne prévoient de déployer des observateurs sur l'ensemble du territoire ivoirien.
La Plate-forme de la société civile pour l'organisation des élections (POECI), une coalition de 14 associations, va déployer le jour du scrutin près de 800 observateurs dans des bureaux de vote choisis au hasard sur l'ensemble du territoire ivoirien.
Ces observateurs "impartiaux et indépendants" vont rapporter tout incident dans les bureaux de vote où ils sont installés.
La POECI annonce également l'expérimentation d'une nouvelle méthode de comptage rapide des votes pour éviter les contestations et les violences post-électorales.
La Commission électorale indépendante (CEI) a annoncé que près de 20.000 bureaux de vote seront ouverts sur le territoire national et dans 19 représentations diplomatiques pour le scrutin du 25 octobre.
Au total huit candidats dont le président sortant, Alassane Ouattara, sont en lice.
Deux candidats, l'ex-président de l'Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, et l'ex-ministre des Affaires étrangères, Essy Amara, ont retiré leur candidature, estimant que "les conditions ne sont pas réunies" pour un scrutin "transparent et équitable".
Le scrutin à venir est crucial pour la normalisation de la vie politique et le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire après les violences post-électorales de 2010 qui ont fait au moins 3.000 morts.