Abidjan - Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, exhorte les populations africaines à saisir les élections présidentielles pour faire entendre leurs voix et que les dirigeants africains profitent de ces élections pour être également à l’écoute des populations.
"Les populations d’Afrique doivent saisir cette occasion pour faire entendre leurs voix, et les dirigeants de tout le continent doivent être à l’écoute", a déclaré John Kerry dans son éditorial parce que selon lui, l’élection présidentielle doit être un moment décisif pour la démocratie en Afrique soulignant que quatre pays africains à savoir la Guinée, la Tanzanie, la Côte d’Ivoire et la Ré ;publique Centrafricaine vont organiser ce mois ci des élections présidentielles.
Ces pays, a-t-il indiqué présentent des différences importantes tant sur le plan de leur histoire que sur celui des circonstances, mais chacun d’eux a la possibilité d’améliorer son bilan démocratique et de promouvoir la croissance économique et le partage de la prospérité en organisant des élections présidentielles libres, équitables et apaisées.
Pour lui, une élection présidentielle libre, équitable et apaisée ne garantit pas le succès de la démocratie, mais elle constitue l’un des instruments les plus importants pour mesurer les progrès de toute nation en développement.
sdaf/kam
"Les populations d’Afrique doivent saisir cette occasion pour faire entendre leurs voix, et les dirigeants de tout le continent doivent être à l’écoute", a déclaré John Kerry dans son éditorial parce que selon lui, l’élection présidentielle doit être un moment décisif pour la démocratie en Afrique soulignant que quatre pays africains à savoir la Guinée, la Tanzanie, la Côte d’Ivoire et la Ré ;publique Centrafricaine vont organiser ce mois ci des élections présidentielles.
Ces pays, a-t-il indiqué présentent des différences importantes tant sur le plan de leur histoire que sur celui des circonstances, mais chacun d’eux a la possibilité d’améliorer son bilan démocratique et de promouvoir la croissance économique et le partage de la prospérité en organisant des élections présidentielles libres, équitables et apaisées.
Pour lui, une élection présidentielle libre, équitable et apaisée ne garantit pas le succès de la démocratie, mais elle constitue l’un des instruments les plus importants pour mesurer les progrès de toute nation en développement.
sdaf/kam