Le Groupement des Éditeurs de Presse de Côte d'Ivoire (GEPCI), en partenariat le Programme Citi 2 et le Commission électorale Indépendante (CEI), a organisé les 14 et 15 octobre 2015, un séminaire de formation des correspondants des journaux politiques signataires de la Charte des Éditeurs de presse.
A travers ce séminaire dont les thèmes étaient « les règles applicables à la presse en période électorale » et « la charte des éditeurs et le code déontologie, boussoles des correspondants de presse en période électorale », le GEPCI veut amener les correspondants de presse à prendre conscience de la responsabilité qui est la leur, face aux désordres et aux remous que pourraient engendrer leurs écrits. Il s’agit de même leur inculqué la connaissance parfaite du processus électorale en Côte d’Ivoire. Et enfin, à mieux connaitre la Commission électorale indépendante (CEI). Le président du GEPCI, Amedé Assi l’a rappelé à l'Hôtel Parlementaire de Yamoussoukro où s’est tenu ledit séminaire, qui a réuni journalistes, universitaires, correspondants de presse, etc., autour de cette importante session de formation.
Le souci du GEPCI, dira-t-il, est d’amener les confrères venus de toutes les régions de la Côte d’Ivoire à engager et à animer sainement les débats politiques, d’une part, et d’autre part, empêcher par la sensibilisation que des correspondants ne se retrouvent en prison, par leurs propres fautes, ou par le zèle de leurs partenaires. L’approche de l’élection présidentielle de 2015 et le débat électoral de cette dernière, interpellent tous, assure Amedé Assi. Une prise de conscience s’impose donc au niveau des correspondants, afin de sauvegarder la paix sociale que tous les Ivoiriens appellent de leurs vœux, dira Zio Moussa, président de l’OLPED.
Le représentant du président de la CEI, Gervais Coulibay, a félicité le GEPCI pour l’organisation de ce séminaire qui vient à son heure. Avant d’exhorter vivement les médias à donner chaque jour, la preuve de leur volonté d’amélioration des rapports entre les différentes sensibilités pour la réalisation effective de la démocratie apaisée et participative.
Aboubacar Al Syddick à Yamoussoukro
A travers ce séminaire dont les thèmes étaient « les règles applicables à la presse en période électorale » et « la charte des éditeurs et le code déontologie, boussoles des correspondants de presse en période électorale », le GEPCI veut amener les correspondants de presse à prendre conscience de la responsabilité qui est la leur, face aux désordres et aux remous que pourraient engendrer leurs écrits. Il s’agit de même leur inculqué la connaissance parfaite du processus électorale en Côte d’Ivoire. Et enfin, à mieux connaitre la Commission électorale indépendante (CEI). Le président du GEPCI, Amedé Assi l’a rappelé à l'Hôtel Parlementaire de Yamoussoukro où s’est tenu ledit séminaire, qui a réuni journalistes, universitaires, correspondants de presse, etc., autour de cette importante session de formation.
Le souci du GEPCI, dira-t-il, est d’amener les confrères venus de toutes les régions de la Côte d’Ivoire à engager et à animer sainement les débats politiques, d’une part, et d’autre part, empêcher par la sensibilisation que des correspondants ne se retrouvent en prison, par leurs propres fautes, ou par le zèle de leurs partenaires. L’approche de l’élection présidentielle de 2015 et le débat électoral de cette dernière, interpellent tous, assure Amedé Assi. Une prise de conscience s’impose donc au niveau des correspondants, afin de sauvegarder la paix sociale que tous les Ivoiriens appellent de leurs vœux, dira Zio Moussa, président de l’OLPED.
Le représentant du président de la CEI, Gervais Coulibay, a félicité le GEPCI pour l’organisation de ce séminaire qui vient à son heure. Avant d’exhorter vivement les médias à donner chaque jour, la preuve de leur volonté d’amélioration des rapports entre les différentes sensibilités pour la réalisation effective de la démocratie apaisée et participative.
Aboubacar Al Syddick à Yamoussoukro