Sécurité, réconciliation, corruption, filière cacao, justice, diplomatie... Les candidats à la présidentielle qui affronteront Alassane Dramane Ouattara (ADO) le 25 octobre répondent aux questions de Jeune Afrique. Après Kacou Gbango, c'est au tour de Siméon Kouadio Konan.
Siméon Kouadio Konan : Non. Il y a cinq ans, nous étions dans une véritable belligérance ouverte entre deux armées. Aujourd’hui, il y a une armée réunifiée, une force dite régulière. Mais la vérité est qu’à côté, il y a encore d’autres armées parallèles : les dozos, les microbres ou tous les groupes de coupeurs de route qui pullulent.
Faut-il réviser l’article 35 de la Constitution selon lequel un candidat à la présidentielle « doit être ivoirien d’origine, né de père et... suite de l'article sur Jeune Afrique
Siméon Kouadio Konan : Non. Il y a cinq ans, nous étions dans une véritable belligérance ouverte entre deux armées. Aujourd’hui, il y a une armée réunifiée, une force dite régulière. Mais la vérité est qu’à côté, il y a encore d’autres armées parallèles : les dozos, les microbres ou tous les groupes de coupeurs de route qui pullulent.
Faut-il réviser l’article 35 de la Constitution selon lequel un candidat à la présidentielle « doit être ivoirien d’origine, né de père et... suite de l'article sur Jeune Afrique