Abidjan – Le Centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CFCI-CI) dénonce le refus de la Commission électorale indépendante (CEI) d’accorder l’accréditation, en vue de la supervision du scrutin présidentiel du 25 octobre, à certaines Organisations de la société civile au rang desquelles il figure, indique un communiqué de l’organisation parvenue à l’AIP vendredi.
Le CFCI regrette ce refus de la CEI "sans qu’aucune explication ne soit donnée", alors qu’il a "pris soin de rassembler tous les documents requis". Cette situation dénote du peu d’intérêt qui lui est accordé "étant donné que les organisations, non des moindres, qui n’ont pas été retenues ont pris une part active aux processus &eacu te;lectoraux de 2000, 2010 et 2011, depuis la sensibilisation des populations jusqu’aux élections générales et régionales".
Le CFCI-CO est membre de l’assemblée générale de l’ECOSSOCC de l’Union africaine, avec statut d’observateur auprès de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples".
Tout en prenant "note de cette décision", "la société civile ivoirienne qui a contribué au processus de la réforme de la loi électorale, continuera néanmoins à travailler pour la consolidation de la démocratie et de la bonne gouvernance en Côte d’Ivoire", rassure le CFCI, invitant le peuple ivoirien à accomplir son devoir civique dans le calme, et la CEI à faire preuve d’impartialité dans la gestion de ce scrutin.
(AIP)
ar/aaa/ask
Le CFCI regrette ce refus de la CEI "sans qu’aucune explication ne soit donnée", alors qu’il a "pris soin de rassembler tous les documents requis". Cette situation dénote du peu d’intérêt qui lui est accordé "étant donné que les organisations, non des moindres, qui n’ont pas été retenues ont pris une part active aux processus &eacu te;lectoraux de 2000, 2010 et 2011, depuis la sensibilisation des populations jusqu’aux élections générales et régionales".
Le CFCI-CO est membre de l’assemblée générale de l’ECOSSOCC de l’Union africaine, avec statut d’observateur auprès de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples".
Tout en prenant "note de cette décision", "la société civile ivoirienne qui a contribué au processus de la réforme de la loi électorale, continuera néanmoins à travailler pour la consolidation de la démocratie et de la bonne gouvernance en Côte d’Ivoire", rassure le CFCI, invitant le peuple ivoirien à accomplir son devoir civique dans le calme, et la CEI à faire preuve d’impartialité dans la gestion de ce scrutin.
(AIP)
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