Le révérend Théophile Soko Waza, président du Congrès du Peuple pour le Développement et la Liberté (Cpdl), par ailleurs porte-parole adjoint de la Coalition Nationale pour le Changement(Cnc) a animé le vendredi 23 octobre 2015, une conférence à son siège sis à Yopougon relative au scrutin du 25 octobre 2015.
« Pour la Côte d’Ivoire, pourquoi nous lançons un appel au calme ? », tel a été le thème de cette conférence. Le président du CPDL a expliqué les raisons du choix de ce thème en s’exprimant en ces termes : « A 48h de l’élection présidentielle 2015, il nous revient de faire un triste constat que la Côte d’Ivoire présente clairement un climat délétère, ce qui nous laisse croire que peut-être nous sommes à 48 h d’une autre grande crise. Ceci justifie notre inquiétude et notre peur pour la Côte d’Ivoire ». Par rapport à ce constat, il interpelle tous les autres leaders et acteurs politiques au calme et à renoncer à toutes les voies de violences. « J’appelle les acteurs du processus électoral au respect de leur serment et engagement pour que l’année 2015 soit différente des autres années afin que pour une fois, nous sortions définitivement des crises politiques.» a-t-il déclaré. Selon lui, les Ivoiriens ont trop souffert et ont connu trop de destruction en seulement 25 ans. « Trop c’est trop ! L’heure n’est plus à la guerre, mais à la préparation d’un lendemain meilleur pour une Côte d’Ivoire plus unie et qui gagne », a- t-il martelé. Il a aussi appelé le chef de l’Etat à comprendre le mécontentement de certains concitoyens qui ne partagent pas sa vision et sa politique, car il ne fait l’unanimité. Par conséquent : « J’invite le chef de l’Etat à écouter beaucoup plus encore ses concitoyens et particulièrement son opposition et la voix des sans voix car les gens ne se sentent pas écoutés, il y a des choses qui deviennent incontrôlable. Il faut aussi réviser la constitution ou aller à la 3ème république », a-t-il conseillé. A la fin de la conférence, le révérend Soko a indiqué que quelle que soit l’issue de cette élection, il lance un appel à la concertation sociale et politique, suivie de la mise en place de mesures vigoureuses afin de permettre à la Côte d’Ivoire de se reconcilier.
SM
« Pour la Côte d’Ivoire, pourquoi nous lançons un appel au calme ? », tel a été le thème de cette conférence. Le président du CPDL a expliqué les raisons du choix de ce thème en s’exprimant en ces termes : « A 48h de l’élection présidentielle 2015, il nous revient de faire un triste constat que la Côte d’Ivoire présente clairement un climat délétère, ce qui nous laisse croire que peut-être nous sommes à 48 h d’une autre grande crise. Ceci justifie notre inquiétude et notre peur pour la Côte d’Ivoire ». Par rapport à ce constat, il interpelle tous les autres leaders et acteurs politiques au calme et à renoncer à toutes les voies de violences. « J’appelle les acteurs du processus électoral au respect de leur serment et engagement pour que l’année 2015 soit différente des autres années afin que pour une fois, nous sortions définitivement des crises politiques.» a-t-il déclaré. Selon lui, les Ivoiriens ont trop souffert et ont connu trop de destruction en seulement 25 ans. « Trop c’est trop ! L’heure n’est plus à la guerre, mais à la préparation d’un lendemain meilleur pour une Côte d’Ivoire plus unie et qui gagne », a- t-il martelé. Il a aussi appelé le chef de l’Etat à comprendre le mécontentement de certains concitoyens qui ne partagent pas sa vision et sa politique, car il ne fait l’unanimité. Par conséquent : « J’invite le chef de l’Etat à écouter beaucoup plus encore ses concitoyens et particulièrement son opposition et la voix des sans voix car les gens ne se sentent pas écoutés, il y a des choses qui deviennent incontrôlable. Il faut aussi réviser la constitution ou aller à la 3ème république », a-t-il conseillé. A la fin de la conférence, le révérend Soko a indiqué que quelle que soit l’issue de cette élection, il lance un appel à la concertation sociale et politique, suivie de la mise en place de mesures vigoureuses afin de permettre à la Côte d’Ivoire de se reconcilier.
SM
