La tablette numérique intégré dans le processus électoral cause de nombreuses difficultés au processus pour sa non-maitrise par de nombreux agents, selon un constat de l'Agence de Presse Africaine (APA) dans de nombreux bureaux de vote.
"C'est à 8h00, que nous avons reçu la tablette. Au moment de la réception ,la mienne était déchargée "; a confié à APA un agent de bureau de vote rencontré à Anadaor dans la comme d'Abobo, au nord d'Abidjan.
Sur place dans le bureau 14 où le vote a commencé à 9h 45 minutes ,au niveau du troisième votant , près de 10 minutes ont été observées. L'on arrivait pas à lire son emprunte. Ces mêmes difficultés ont été signalées à Koumassi (Sud d'Abidjan), à Yopougon et à Bouaké à l'intérieur du pays.
La tablette tactile a été introduite dans le processus électoral ivoirien dans le cadre de la sécurisation de celui-ci. Plus de 6,3 millions d'électeurs ivoiriens sur 23 millions d'habitants, sont aux urnes, dimanche, en vue d'élire le Président de la République de Côte d'Ivoire parmi sept candidats, dans un scrutin jugé crucial pour la stabilisation du pays, après la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3000 morts.
SY/ls/APA
"C'est à 8h00, que nous avons reçu la tablette. Au moment de la réception ,la mienne était déchargée "; a confié à APA un agent de bureau de vote rencontré à Anadaor dans la comme d'Abobo, au nord d'Abidjan.
Sur place dans le bureau 14 où le vote a commencé à 9h 45 minutes ,au niveau du troisième votant , près de 10 minutes ont été observées. L'on arrivait pas à lire son emprunte. Ces mêmes difficultés ont été signalées à Koumassi (Sud d'Abidjan), à Yopougon et à Bouaké à l'intérieur du pays.
La tablette tactile a été introduite dans le processus électoral ivoirien dans le cadre de la sécurisation de celui-ci. Plus de 6,3 millions d'électeurs ivoiriens sur 23 millions d'habitants, sont aux urnes, dimanche, en vue d'élire le Président de la République de Côte d'Ivoire parmi sept candidats, dans un scrutin jugé crucial pour la stabilisation du pays, après la sanglante crise post-électorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3000 morts.
SY/ls/APA