Le président du Front populaire ivoirien (FPI), pascal Affi N’Guessan s’est engagé ce dimanche à « accepter » les résultats du scrutin présidentiel. Il l’a indiqué à la presse à l’issue d’une rencontre avec une délégation d’observateurs de la Communauté économique de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) conduite par l’ancien président Nigérian Olusegun Obasanjo.
« Si nous perdons, nous accepterons les résultats parce que nous sommes ds démocrates », a dit Pascal Affi N’guessan, après avoir affirmé qu’il sortira vainqueur de la présidentielle. Pour le président du FPI, le premier chantier et le plus important une fois aux affaires, sera la réconciliation. « Quand nous allons gagner les élections notre première action sera d réconcilier les Ivoirien », a-t-il affirmé. Expliquant que la réconciliation est une « nécessité absolue » pour l’ensemble des Ivoiriens. Même s’il a reconnu que « globalement l’élection s’est bien déroulée », Pascal Affi N’Guessan estime ça aurait été beaucoup mieux si le processus avait été entouré de consensus de tous les acteurs. Il a par ailleurs dénoncé « la justice des vainqueurs, le gel des avoirs des opposants et la situation d’exil de proches de l’ex-président Laurent Gbagbo ».
Prenant la parole, l’ancien président du Nigéria a Félicité Pascal Affi N’Guessan et le FPI d’avoir accepté de participer aux élections. « En acceptant de participer à ces élections, c’est un exemple que vous donnez à l’Afrique et au monde », a affirmé Olusegun Obasanjo. Il a par ailleurs encouragé le président du FPI et l’ensemble des Ivoiriens à s’inscrire résolument dans le processus de réconciliation, qui selon lui est un processus « continu ». Il a pour le justifier, cité l’exemple du Nigéria qui 45ans après la fin de la guerre civile poursuit toujours son processus de réconciliation. Concernant les questions soulevées par le Président du FPI, Obasanjo a indiqué qu’il revient aux Ivoiriens et à eux seuls de conduire leur processus de réconciliation jusqu’à son terme.
Outre le président du FPI, la délégation de la CEDEAO a rencontré le Président Alassane Ouattara et d’autres personnalités qui participent à ces élections.
« Si nous perdons, nous accepterons les résultats parce que nous sommes ds démocrates », a dit Pascal Affi N’guessan, après avoir affirmé qu’il sortira vainqueur de la présidentielle. Pour le président du FPI, le premier chantier et le plus important une fois aux affaires, sera la réconciliation. « Quand nous allons gagner les élections notre première action sera d réconcilier les Ivoirien », a-t-il affirmé. Expliquant que la réconciliation est une « nécessité absolue » pour l’ensemble des Ivoiriens. Même s’il a reconnu que « globalement l’élection s’est bien déroulée », Pascal Affi N’Guessan estime ça aurait été beaucoup mieux si le processus avait été entouré de consensus de tous les acteurs. Il a par ailleurs dénoncé « la justice des vainqueurs, le gel des avoirs des opposants et la situation d’exil de proches de l’ex-président Laurent Gbagbo ».
Prenant la parole, l’ancien président du Nigéria a Félicité Pascal Affi N’Guessan et le FPI d’avoir accepté de participer aux élections. « En acceptant de participer à ces élections, c’est un exemple que vous donnez à l’Afrique et au monde », a affirmé Olusegun Obasanjo. Il a par ailleurs encouragé le président du FPI et l’ensemble des Ivoiriens à s’inscrire résolument dans le processus de réconciliation, qui selon lui est un processus « continu ». Il a pour le justifier, cité l’exemple du Nigéria qui 45ans après la fin de la guerre civile poursuit toujours son processus de réconciliation. Concernant les questions soulevées par le Président du FPI, Obasanjo a indiqué qu’il revient aux Ivoiriens et à eux seuls de conduire leur processus de réconciliation jusqu’à son terme.
Outre le président du FPI, la délégation de la CEDEAO a rencontré le Président Alassane Ouattara et d’autres personnalités qui participent à ces élections.