Roska Marie–David Elie est une servante de Dieu. Prophétesse et responsable du ministère apostolique Roska Marie David Ministries, elle affirme avoir reçu de Dieu une révélation selon laquelle, des individus tapis dans l’ombre, se prépareraient à la violence. Une révélation qu’elle a bien voulu partager au cours d’une conférence le vendredi 23 octobre 2015 aux 2Palteaux 7è tranche.
Arrivée des Usa sur instruction divine, afin de se consacrer à la prière en faveur de la Côte d’Ivoire, son pays d’origine, dans le cadre de l’élection présidentielle, Roska Marie David a jugé opportun d’adresser un message à toute la communauté nationale. «Dans les moments de recueillement et d’intimité avec Dieu, il m’a été révélé que des individus se préparent à la violence», a déclaré la prophétesse. A l’en croire, alors que des hommes politiques et leurs militants parlent de paix et de réconciliation, leurs cœurs ne sont pas désarmés au point que nombre d’entre eux se regardent en chiens de faïence. «Si des candidats n'utilisent pas le ton d’apaisement, si d'autres candidats ne peuvent aller partout sur le territoire ivoirien pour s’exprimer librement par peur d’être agressés par les partisans de leurs concurrents, si la réconciliation et la paix prônées par tous restent de vains mots, s’il est si difficile de s’assoir et s’entendre pour aplanir les contours d’une élection juste et transparente, si déjà certains se savent vainqueurs avant même que les populations aillent dans les urnes, comment la paix peut être effective», a-t-elle dévoilé.
Mais comme la révélation divine ne se limite pas qu’à informer, elle assure faire partie de l’armée que Dieu s’est choisie pour faire barrage au projet funeste que les ennemis de la Côte d’Ivoire nourrissent dans le secret. «Nous avons imploré Dieu pendant des jours, afin qu’il fasse grâce selon sa grande miséricorde pour que le pire ne survienne pas dans notre pays», a indiqué la servante de Dieu. Elle a profité de l’occasion pour adresser une invite à tous les acteurs afin que chacun joue sa partition. Appelant les politiques, leurs partisans, la jeunesse et toute la population à construire la cohésion nationale et développer les comportements allant dans le sens de la paix.
Constant DOSSOU
Arrivée des Usa sur instruction divine, afin de se consacrer à la prière en faveur de la Côte d’Ivoire, son pays d’origine, dans le cadre de l’élection présidentielle, Roska Marie David a jugé opportun d’adresser un message à toute la communauté nationale. «Dans les moments de recueillement et d’intimité avec Dieu, il m’a été révélé que des individus se préparent à la violence», a déclaré la prophétesse. A l’en croire, alors que des hommes politiques et leurs militants parlent de paix et de réconciliation, leurs cœurs ne sont pas désarmés au point que nombre d’entre eux se regardent en chiens de faïence. «Si des candidats n'utilisent pas le ton d’apaisement, si d'autres candidats ne peuvent aller partout sur le territoire ivoirien pour s’exprimer librement par peur d’être agressés par les partisans de leurs concurrents, si la réconciliation et la paix prônées par tous restent de vains mots, s’il est si difficile de s’assoir et s’entendre pour aplanir les contours d’une élection juste et transparente, si déjà certains se savent vainqueurs avant même que les populations aillent dans les urnes, comment la paix peut être effective», a-t-elle dévoilé.
Mais comme la révélation divine ne se limite pas qu’à informer, elle assure faire partie de l’armée que Dieu s’est choisie pour faire barrage au projet funeste que les ennemis de la Côte d’Ivoire nourrissent dans le secret. «Nous avons imploré Dieu pendant des jours, afin qu’il fasse grâce selon sa grande miséricorde pour que le pire ne survienne pas dans notre pays», a indiqué la servante de Dieu. Elle a profité de l’occasion pour adresser une invite à tous les acteurs afin que chacun joue sa partition. Appelant les politiques, leurs partisans, la jeunesse et toute la population à construire la cohésion nationale et développer les comportements allant dans le sens de la paix.
Constant DOSSOU