C’est un océan qui tombe du ciel à Yakassé-Mé. Des trombes d’eau qui transforment les routes en rivières. Mais dans cette petite localité située à une cinquantaine de kilomètres d’Abidjan, ce n’est pas la pluie qui semble être le principal motif de désaffection des bureaux de vote ce dimanche matin.
Si certains racontent ne pas avoir de pièces d’identité pour effectuer leur devoir civique, Théophile Aka montre le bout de son index noirci par l’encre indélébile qui vient de lui être apposée après son vote en expliquant qu’« il faut qu’on avance et qu’on arrête de revenir sur le passé ». Mais à quelques mètres de là, au bar « le Barça », une dizaine de jeunes expriment toutes leurs frustrations et leurs rancœurs à l’égard du pouvoir... suite de l'article sur LeMonde.fr
Si certains racontent ne pas avoir de pièces d’identité pour effectuer leur devoir civique, Théophile Aka montre le bout de son index noirci par l’encre indélébile qui vient de lui être apposée après son vote en expliquant qu’« il faut qu’on avance et qu’on arrête de revenir sur le passé ». Mais à quelques mètres de là, au bar « le Barça », une dizaine de jeunes expriment toutes leurs frustrations et leurs rancœurs à l’égard du pouvoir... suite de l'article sur LeMonde.fr