Abidjan - Le président ivoirien Alassane Ouattara, qui brigue un deuxième mandat de cinq ans, a estimé mardi que l’élection présidentielle de dimanche va permettre de clore "définitivement" le chapitre de la crise postélectorale meurtrière 2010.
Près de 23 millions d’Ivoiriens étaient toujours dans l’attente mardi soir des résultats du scrutin qui s’est déroulé sans incident majeur.
"Ce scrutin permettra sans aucun doute de renforcer la cohésion nationale
et de tourner définitivement la page de la crise que notre pays a traversé", a déclaré Ouattara.
En 2010, le refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire de M. Ouattara avait plongé le pays dans cinq mois de conflit qui s’étaient soldés par la mort de 3.000 personnes, épilogue sanglant d’une décennie de crise politico-militaire.
"La Côte d’Ivoire s’engage résolument sur la voie de la stabilité et du renforcement de la démocratie", a ajouté M. Ouattara après une visite à son allié, l’ex-président Henri Konan Bédié. M. Bédié, président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), fondé par Félix Houphouët Boigny, a soutenu Ouattara dans cette campagne.
"Nous nous sommes félicités du bon déroulement de ces élections dans la paix et dans le plus grand respect des règles démocratiques", a encore affirmé le président sortant.
La présidentielle de dimanche a été jugée lundi "crédible" et "transparente" par les observateurs de l’Union Africaine et de la sous-région (UA et Cédéao) ainsi que par les Etats-Unis.
Le président sortant Alassane Ouattara, 73 ans, est donné vainqueur par les observateurs dès le premier tour devant l’opposant Pascal Affi N’Guessan,
représentant du Front populaire Ivoirien, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, sur un total de sept candidats.
Une partie de l’opposition avait appelé à boycotter l’élection, qualifiant
le scrutin de "mascarade électorale".
eak/pgf/sba
Près de 23 millions d’Ivoiriens étaient toujours dans l’attente mardi soir des résultats du scrutin qui s’est déroulé sans incident majeur.
"Ce scrutin permettra sans aucun doute de renforcer la cohésion nationale
et de tourner définitivement la page de la crise que notre pays a traversé", a déclaré Ouattara.
En 2010, le refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire de M. Ouattara avait plongé le pays dans cinq mois de conflit qui s’étaient soldés par la mort de 3.000 personnes, épilogue sanglant d’une décennie de crise politico-militaire.
"La Côte d’Ivoire s’engage résolument sur la voie de la stabilité et du renforcement de la démocratie", a ajouté M. Ouattara après une visite à son allié, l’ex-président Henri Konan Bédié. M. Bédié, président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), fondé par Félix Houphouët Boigny, a soutenu Ouattara dans cette campagne.
"Nous nous sommes félicités du bon déroulement de ces élections dans la paix et dans le plus grand respect des règles démocratiques", a encore affirmé le président sortant.
La présidentielle de dimanche a été jugée lundi "crédible" et "transparente" par les observateurs de l’Union Africaine et de la sous-région (UA et Cédéao) ainsi que par les Etats-Unis.
Le président sortant Alassane Ouattara, 73 ans, est donné vainqueur par les observateurs dès le premier tour devant l’opposant Pascal Affi N’Guessan,
représentant du Front populaire Ivoirien, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, sur un total de sept candidats.
Une partie de l’opposition avait appelé à boycotter l’élection, qualifiant
le scrutin de "mascarade électorale".
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