Abidjan - Une vingtaine de journalistes ont pris part mardi à Abidjan, à un atelier organisé par l’Association africaine de l’eau (AAE), en vue de renforcer leurs capacités en eau et assainissement.
Portant sur le thème "Les hommes de média et le partage des connaissances dans le secteur eau-assainissement-hygiène en Afrique", ces travaux ont eu pour objectif de permettre aux professionnels des médias d’avoir une meilleure perception des problématiques lié es à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène en vue de les rendre plus efficaces dans la production et la dissémination d’informations relatives à ce secteur.
A l’ouverture de l’atelier, le directeur exécutif de l’AAE, Usher Sylvain, a remercié la presse pour ce nouveau partenariat qui aidera à donner une meilleure visibilité sur les actions de l'institution.
Il a ajouté que cette formation se fait avec l’appui technique et financier de l’USAID WA-WASH, dans le cadre du projet de mise en place d’une plateforme de gestion et partage de connaissances qui vise à pérenniser les réalisations, les savoir-faire, les expériences des uns et des autres dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et de l‘hygiène en Afrique.
La formation a porté su r les activités menées par l’AAE, l’eau non-facturée qui est l’un des problèmes clés auquel sont confrontées de nombreuses sociétés d’eau sur le continent dont la Société de distribution d'eau de la Côte d'Ivoire (SODECI), également sur des activités d’assainissement ainsi que la présentation de la plateforme de partage de connaissances développée par l’AAE.
Plusieurs dirigeants des sociétés du secteur de l’eau potable et de l’assainissement ont décidé en février 1980 de mettre en place une association connue sous le nom de l’Union africaine des distributeurs d’eau (UADE). En 2004 après les diverses reformes institutionnelles qui ont eu lieu dans le secteur de l’eau, l’UADE a changé d’objectifs et de nom pour s’appel er AAE et compte à ce jour plus de 113 membres issus de 42 pays d’Afrique dont la Côte d’Ivoire.
L’AAE a dorénavant pour mission, entre autres, d’organiser des programmes de renforcement des capacités afin d’améliorer la performance des sociétés d’eau et d’assainissement pour mieux servir les populations africaines. Elle coordonne également la recherche de la connaissance et met à jour les données techniques, juridiques, administratives et économiques recueillies dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement.
amak/cmas
Portant sur le thème "Les hommes de média et le partage des connaissances dans le secteur eau-assainissement-hygiène en Afrique", ces travaux ont eu pour objectif de permettre aux professionnels des médias d’avoir une meilleure perception des problématiques lié es à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène en vue de les rendre plus efficaces dans la production et la dissémination d’informations relatives à ce secteur.
A l’ouverture de l’atelier, le directeur exécutif de l’AAE, Usher Sylvain, a remercié la presse pour ce nouveau partenariat qui aidera à donner une meilleure visibilité sur les actions de l'institution.
Il a ajouté que cette formation se fait avec l’appui technique et financier de l’USAID WA-WASH, dans le cadre du projet de mise en place d’une plateforme de gestion et partage de connaissances qui vise à pérenniser les réalisations, les savoir-faire, les expériences des uns et des autres dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et de l‘hygiène en Afrique.
La formation a porté su r les activités menées par l’AAE, l’eau non-facturée qui est l’un des problèmes clés auquel sont confrontées de nombreuses sociétés d’eau sur le continent dont la Société de distribution d'eau de la Côte d'Ivoire (SODECI), également sur des activités d’assainissement ainsi que la présentation de la plateforme de partage de connaissances développée par l’AAE.
Plusieurs dirigeants des sociétés du secteur de l’eau potable et de l’assainissement ont décidé en février 1980 de mettre en place une association connue sous le nom de l’Union africaine des distributeurs d’eau (UADE). En 2004 après les diverses reformes institutionnelles qui ont eu lieu dans le secteur de l’eau, l’UADE a changé d’objectifs et de nom pour s’appel er AAE et compte à ce jour plus de 113 membres issus de 42 pays d’Afrique dont la Côte d’Ivoire.
L’AAE a dorénavant pour mission, entre autres, d’organiser des programmes de renforcement des capacités afin d’améliorer la performance des sociétés d’eau et d’assainissement pour mieux servir les populations africaines. Elle coordonne également la recherche de la connaissance et met à jour les données techniques, juridiques, administratives et économiques recueillies dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement.
amak/cmas