Assuré par tablettes tactiles, le contrôle biométrique et le transfert électronique des résultats de la présidentielle ivoirienne a connu quelques ratés.
Le scrutin présidentiel ivoirien du 25 octobre dernier a été le plus « high-tech » de l’histoire de la Côte d’Ivoire. Pour éviter les accusations de fraude, la Commission électorale indépendante (CEI) et son partenaire technique, Safran Morpho, avaient mis en œuvre un transfert électronique des résultats et surtout un contrôle biométrique des électeurs grâce à des tablettes. Mais, dans la pratique, plusieurs couacs ont été enregistrés.
De fait, dimanche dernier, les tablettes ont souvent posé problème dans les bureaux de votes, ce qui a amené l’ex-président nigérian Olusegun Obasanjo,... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le scrutin présidentiel ivoirien du 25 octobre dernier a été le plus « high-tech » de l’histoire de la Côte d’Ivoire. Pour éviter les accusations de fraude, la Commission électorale indépendante (CEI) et son partenaire technique, Safran Morpho, avaient mis en œuvre un transfert électronique des résultats et surtout un contrôle biométrique des électeurs grâce à des tablettes. Mais, dans la pratique, plusieurs couacs ont été enregistrés.
De fait, dimanche dernier, les tablettes ont souvent posé problème dans les bureaux de votes, ce qui a amené l’ex-président nigérian Olusegun Obasanjo,... suite de l'article sur Jeune Afrique