L’ex-président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Mamadou Koulibaly, candidat malheureux qui avait par ailleurs annoncé son retrait de l’élection présidentielle qui s’est tenue dimanche, a saisi vendredi le Conseil constitutionnel "aux fins de contestations du scrutin", a annoncé son parti, Liberté et démocratie pour la République (LIDER).
"Lider informe l’opinion nationale et internationale que le Pr Mamadou Koulibaly (…) a adressé ce jour au Conseil constitutionnel une requête aux fins de contestations du scrutin de dimanche", relève le communiqué du parti sans plus de précisions.
M. Koulibaly a obtenu 0,11% du suffrage exprimé lors du scrutin contre 83,66% pour le président sortant Alassane Ouattara, avec un taux de participation de 52,86% selon la CEI.
"Je ne participerai pas à ces élections truquées", avait-il annoncé sur les réseaux sociaux le 09 octobre, estimant que l’élection, était "délibérément sabotée par ceux-là même qui ont le devoir de l’organiser", à savoir "la Commission électorale indépendante (CEI) et le gouvernement".
Comparant la présidentielle à un "référendum" sur la "fraude", l’ex-président de l’Assemblée nationale avait invité les électeurs à "s’abstenir" de voter pour dire "non".
MYA
"Lider informe l’opinion nationale et internationale que le Pr Mamadou Koulibaly (…) a adressé ce jour au Conseil constitutionnel une requête aux fins de contestations du scrutin de dimanche", relève le communiqué du parti sans plus de précisions.
M. Koulibaly a obtenu 0,11% du suffrage exprimé lors du scrutin contre 83,66% pour le président sortant Alassane Ouattara, avec un taux de participation de 52,86% selon la CEI.
"Je ne participerai pas à ces élections truquées", avait-il annoncé sur les réseaux sociaux le 09 octobre, estimant que l’élection, était "délibérément sabotée par ceux-là même qui ont le devoir de l’organiser", à savoir "la Commission électorale indépendante (CEI) et le gouvernement".
Comparant la présidentielle à un "référendum" sur la "fraude", l’ex-président de l’Assemblée nationale avait invité les électeurs à "s’abstenir" de voter pour dire "non".
MYA