Suite à l'assassinat auquel a échappé le journaliste du quotidien Soir-Info Norbert N'kaka à Dabou, Kouadio Amonzame, président de l'intersyndicale du secteur des médias de Côte d'Ivoire a animé une conférence de presse le lundi 02 novembre 2015 à la maison de la presse au Plateau.
Norbert N'kaka a depuis un moment le sommeil troublé. Cela s'explique par le fait que Sess Soukou Mohamed, député-maire de Dabou lui a demandé de quitter sa cité. « Je ne sais pas ce que j'ai fait au maire, je lui ai demandé les raisons et il m'a répondu qu'il ne voulait plus me voir à Dabou, si je ne quitte pas, advienne que pourra », s'est exprimé la victime qui a été joint par téléphone.
C'est donc pour cela que Kouadio Amonzame, à travers cette conférence s'est dit indigné face à cet acte qu'il qualifie de barbarie. Selon lui, ce comportement n'est pas du tout digne d'une autorité politique. « Il faut bannir ce genre de comportement de notre milieu de vie », a-t-il interpellé. Le président de l'intersyndicale du secteur des médias de Côte d'Ivoire espère donc que quelque chose soit fait rapidement afin que de tels actes ne se reproduisent plus. C'est pourquoi il a condamné avec la dernière énergie cet acte. Kouadio Amonzame a indiqué qu'il compte saisir le ministère de l'Intérieur, L’Assemblée nationale et l'Union des villes et communs de Côte d’Ivoire (Uvicoci). « Laisser les journalistes jouer leur rôle en toute liberté », a-t-il supplié.
M.K
Norbert N'kaka a depuis un moment le sommeil troublé. Cela s'explique par le fait que Sess Soukou Mohamed, député-maire de Dabou lui a demandé de quitter sa cité. « Je ne sais pas ce que j'ai fait au maire, je lui ai demandé les raisons et il m'a répondu qu'il ne voulait plus me voir à Dabou, si je ne quitte pas, advienne que pourra », s'est exprimé la victime qui a été joint par téléphone.
C'est donc pour cela que Kouadio Amonzame, à travers cette conférence s'est dit indigné face à cet acte qu'il qualifie de barbarie. Selon lui, ce comportement n'est pas du tout digne d'une autorité politique. « Il faut bannir ce genre de comportement de notre milieu de vie », a-t-il interpellé. Le président de l'intersyndicale du secteur des médias de Côte d'Ivoire espère donc que quelque chose soit fait rapidement afin que de tels actes ne se reproduisent plus. C'est pourquoi il a condamné avec la dernière énergie cet acte. Kouadio Amonzame a indiqué qu'il compte saisir le ministère de l'Intérieur, L’Assemblée nationale et l'Union des villes et communs de Côte d’Ivoire (Uvicoci). « Laisser les journalistes jouer leur rôle en toute liberté », a-t-il supplié.
M.K
