Gnénéman Coulibaly, le ministre de la justice et des Droits de l’homme a signifié que les prisons ivoiriennes ne respectent pas les normes internationales. C’était le mardi 3 novembre au sortir d’un entretien avec Mohammed Ayat, l’Expert indépendant de l’Onu en la matière.
« Ce n’est pas un secret pour vous. Vous savez que nos prisons ne sont pas au niveau des normes internationales car ce sont de vielles prisons qui, par moment, présentent des défaillances et le gouvernement s’est engagé à faire en sorte que nous nous dotions de nouvelles prisons », a déclaré le garde des sceaux.
Gnénéman Coulibaly a également annoncé que le gouvernement est à la recherche de financement pour réaliser 22 nouvelles prisons.
« Nous sommes dans une phase de réalisations de 10 nouvelles prisons et si nous faisons cela, nous mettrons les prisonniers dans de meilleures conditions », a précisé le ministre de la justice qui, par ailleurs, n’a pas évoqué le sort des 400 prisonniers politiques détenus, sans jugement depuis 2011, jusqu’à ce jour dans les geôles du pays.
« Je suis là pour voir les différents développements intervenus entre les deux visites au niveau du respect et de la promotion des droits de l’homme. Je peux vous dire que j’ai eu un entretien très fructueux avec le garde des sceaux et il m’a briefé d’une manière très édifiante pour mon rapport », a indiqué pour sa part, l’expert indépendant. sur le renforcement des capacités et de la coopération technique en matière de Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.
Gnénéma a salué la coopération initiée par le Haut-commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies qui a mis à la disposition du pays un expert pour l’accompagner dans le renforcement des capacités en matière de droit de l’homme , de promotion et de protection. « Nous avons mis sur la table, les points faibles et les points forts et avons pris des engagements et des attaches pour que sa mission connaisse le succès qu’il faut. Mais pour nous, agir pour les droits humains, c’est d’abord agir en faveur des Ivoiriens, car ce sont eux qui s’expriment mieux et vivent mieux quand ils bénéficient de ces libertés. Les points faibles, ce sont les conditions de détention », a-t-il conclu.
Constant DOSSOU
« Ce n’est pas un secret pour vous. Vous savez que nos prisons ne sont pas au niveau des normes internationales car ce sont de vielles prisons qui, par moment, présentent des défaillances et le gouvernement s’est engagé à faire en sorte que nous nous dotions de nouvelles prisons », a déclaré le garde des sceaux.
Gnénéman Coulibaly a également annoncé que le gouvernement est à la recherche de financement pour réaliser 22 nouvelles prisons.
« Nous sommes dans une phase de réalisations de 10 nouvelles prisons et si nous faisons cela, nous mettrons les prisonniers dans de meilleures conditions », a précisé le ministre de la justice qui, par ailleurs, n’a pas évoqué le sort des 400 prisonniers politiques détenus, sans jugement depuis 2011, jusqu’à ce jour dans les geôles du pays.
« Je suis là pour voir les différents développements intervenus entre les deux visites au niveau du respect et de la promotion des droits de l’homme. Je peux vous dire que j’ai eu un entretien très fructueux avec le garde des sceaux et il m’a briefé d’une manière très édifiante pour mon rapport », a indiqué pour sa part, l’expert indépendant. sur le renforcement des capacités et de la coopération technique en matière de Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.
Gnénéma a salué la coopération initiée par le Haut-commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies qui a mis à la disposition du pays un expert pour l’accompagner dans le renforcement des capacités en matière de droit de l’homme , de promotion et de protection. « Nous avons mis sur la table, les points faibles et les points forts et avons pris des engagements et des attaches pour que sa mission connaisse le succès qu’il faut. Mais pour nous, agir pour les droits humains, c’est d’abord agir en faveur des Ivoiriens, car ce sont eux qui s’expriment mieux et vivent mieux quand ils bénéficient de ces libertés. Les points faibles, ce sont les conditions de détention », a-t-il conclu.
Constant DOSSOU