Le président du Conseil national de la presse (CNP), Raphaël Lakpé a animé ce jeudi une conférence de presse pour faire le bilan de la couverture par la presse de la présidentielle 2015.
Raphaël Lakpé a, au nom de l’institution qu’il dirige, délivré « un satisfecit général » à l’ensemble de la presse. « De façon globale, elle a été responsable en ce qu’elle a suivi ses directives pour assurer une couverture volontariste des activités des candidats et un traitement responsable de l’Information », s’est réjoui le président du CNP.
Le CNP a en outre relevé « le professionnalisme et le civisme » dont ont fait preuve les responsables du quotidien gouvernemental Fraternité matin et l’Agence ivoirienne de presse (AIP) quant au respect de l’égal accès des candidats et de leur traitement équitable dans les organes de service public. « Ils ont attaché du prix aux vertus de l’impartialité, de la neutralité et de l’honnêteté, qualités requises pour des médias comme les leurs, financés sur des fonds publics », a argué Raphaël Lakpé.
Si dans l’ensemble, la couverture de la présidentielle s’est bien déroulée, le Conseil national de la presse a relevé quelques manquements. Le CNP s’est autosaisie pour interpeller cinq fois fraternité Matin et deux fois l’AIP pour des articles ne répondant pas totalement aux critères de la stricte égalité des candidats.
Aussi résulte-t-il du contrôle effectué par le CNP sur 27 journaux d’informations générales, au cours de la période électorale, 26 interpellations, 35 avertissements, 11 blâmes et 4 suspensions de parutions pour la période du 9 au 24 octobre 2015. Le Patriote, Le Quotidien d’Abidjan, Le Temps et le Nouveau Courrier sont les quatre quotidiens ayant écopé d’une sanction de second degré, soit une suspension pour trois parutions. « La plupart des dérives constatées dans la presse papier se retrouvent dans les journaux en ligne », selon le président du CNP.
« Le CNP se réjouit du climat de paix dans lequel se sont déroulés la campagne et le scrutin », a conclu Raphaël Lakpé.
Elisée B.
Raphaël Lakpé a, au nom de l’institution qu’il dirige, délivré « un satisfecit général » à l’ensemble de la presse. « De façon globale, elle a été responsable en ce qu’elle a suivi ses directives pour assurer une couverture volontariste des activités des candidats et un traitement responsable de l’Information », s’est réjoui le président du CNP.
Le CNP a en outre relevé « le professionnalisme et le civisme » dont ont fait preuve les responsables du quotidien gouvernemental Fraternité matin et l’Agence ivoirienne de presse (AIP) quant au respect de l’égal accès des candidats et de leur traitement équitable dans les organes de service public. « Ils ont attaché du prix aux vertus de l’impartialité, de la neutralité et de l’honnêteté, qualités requises pour des médias comme les leurs, financés sur des fonds publics », a argué Raphaël Lakpé.
Si dans l’ensemble, la couverture de la présidentielle s’est bien déroulée, le Conseil national de la presse a relevé quelques manquements. Le CNP s’est autosaisie pour interpeller cinq fois fraternité Matin et deux fois l’AIP pour des articles ne répondant pas totalement aux critères de la stricte égalité des candidats.
Aussi résulte-t-il du contrôle effectué par le CNP sur 27 journaux d’informations générales, au cours de la période électorale, 26 interpellations, 35 avertissements, 11 blâmes et 4 suspensions de parutions pour la période du 9 au 24 octobre 2015. Le Patriote, Le Quotidien d’Abidjan, Le Temps et le Nouveau Courrier sont les quatre quotidiens ayant écopé d’une sanction de second degré, soit une suspension pour trois parutions. « La plupart des dérives constatées dans la presse papier se retrouvent dans les journaux en ligne », selon le président du CNP.
« Le CNP se réjouit du climat de paix dans lequel se sont déroulés la campagne et le scrutin », a conclu Raphaël Lakpé.
Elisée B.