La crise post-électorale de 2010 a occasionné des nombreuses violations des Droits de l’Homme, impliquant souvent des éléments des Forces Armées et des forces de Sécurité.
Afin de prévenir de telles violations, la Coordination Africaine des Droits de l’Homme pour les Armées (CADHA), en collaboration avec l’Etat-Major Général des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), en partenariat avec le système des Nations Unies, les Organisations Nationales et Internationales de défense des Droits de l’Homme ont formé et sensibilisé 27.158 personnels du métier des Armes, du Corps Préfectoral et des leaders communautaires dans les quatre régions militaires, du 15 novembre 2011 au 08 octobre 2015.
L’élection présidentielle qui vient de prendre fin, nous donne l’occasion de mesurer la portée de notre action.
De l’ouverture de cette campagne présidentielle à la proclamation des résultats par le Conseil Constitutionnel, aucun cas de violation des Droits de l’Homme impliquant les Forces Armées et des forces de Sécurité ne nous a été rapporté.
La CADHA dont la mission fondamentale est la promotion des droits de l’homme dans les armées africaines peut se féliciter du succès de ce premier examen de passage, l’élection présidentielle.
La CADHA remercie, tous les partenaires qui ont cru à son initiative, en acceptant de l’accompagner dans cette « aventure ».
Nos vifs remerciements au Chef d’Etat-Major Général des FRCI, qui par son engagement personnel, a permis l’atteinte de cet exceptionnel résultat : « zéro » cas de violation des Droits de l’Homme imputé aux Forces Armées et Forces de Sécurité pendant cette élection.
Si cette première échéance électorale s’est bien déroulée, il n’en reste pas moins des élections législatives et locales à venir. La sensibilisation des Forces Armées et de Sécurité doit donc se poursuivre pour confirmer le résultat de : « zéro cas de violation des Droits de l’Homme ».
Pour ce faire, nous sollicitons l’accompagnement de l’Etat, du Système des Nations-Unies, et des ONG de Défense des Droits de l’Homme pour la pérennisation de l’initiative. Nous demandons en particulier aux agents des Forces Armées et de Sécurité l’appropriation des notions de respect des droits de l’homme.
Fait à Abidjan, le 04 novembre 2015.
Pour la CADHA
Le Coordonnateur Général
Monsieur BERTHE Nanourou
Afin de prévenir de telles violations, la Coordination Africaine des Droits de l’Homme pour les Armées (CADHA), en collaboration avec l’Etat-Major Général des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), en partenariat avec le système des Nations Unies, les Organisations Nationales et Internationales de défense des Droits de l’Homme ont formé et sensibilisé 27.158 personnels du métier des Armes, du Corps Préfectoral et des leaders communautaires dans les quatre régions militaires, du 15 novembre 2011 au 08 octobre 2015.
L’élection présidentielle qui vient de prendre fin, nous donne l’occasion de mesurer la portée de notre action.
De l’ouverture de cette campagne présidentielle à la proclamation des résultats par le Conseil Constitutionnel, aucun cas de violation des Droits de l’Homme impliquant les Forces Armées et des forces de Sécurité ne nous a été rapporté.
La CADHA dont la mission fondamentale est la promotion des droits de l’homme dans les armées africaines peut se féliciter du succès de ce premier examen de passage, l’élection présidentielle.
La CADHA remercie, tous les partenaires qui ont cru à son initiative, en acceptant de l’accompagner dans cette « aventure ».
Nos vifs remerciements au Chef d’Etat-Major Général des FRCI, qui par son engagement personnel, a permis l’atteinte de cet exceptionnel résultat : « zéro » cas de violation des Droits de l’Homme imputé aux Forces Armées et Forces de Sécurité pendant cette élection.
Si cette première échéance électorale s’est bien déroulée, il n’en reste pas moins des élections législatives et locales à venir. La sensibilisation des Forces Armées et de Sécurité doit donc se poursuivre pour confirmer le résultat de : « zéro cas de violation des Droits de l’Homme ».
Pour ce faire, nous sollicitons l’accompagnement de l’Etat, du Système des Nations-Unies, et des ONG de Défense des Droits de l’Homme pour la pérennisation de l’initiative. Nous demandons en particulier aux agents des Forces Armées et de Sécurité l’appropriation des notions de respect des droits de l’homme.
Fait à Abidjan, le 04 novembre 2015.
Pour la CADHA
Le Coordonnateur Général
Monsieur BERTHE Nanourou