Bouaké - L’étude diagnostique locale de la sécurité prévue dans le cadre du programme de Réforme du secteur de la sécurité (RSS) démarrera probablement le 23 novembre, a-t-on appris, vendredi, à Bouaké, lors d’une réunion préparatoire de l’opération initiée par le secrétariat du conseil national de sécurité à l’intention des membres du corps préfectoral de la région de Gbêkê.
L’expert en sécurité urbaine, Soumahoro Moussa, a indiqué que l’étude consistera à recenser toutes les infractions qui existent dans la région de Gbêkê, leurs auteurs, les victimes, les zones criminogènes, les périodes des crimes, la nature des infractions, le mode opératoire, puis à collecter les informations relatives notamment à l’urbanisation, à la santé et l’alimentation.
"Quand on a défini ces éléments, les solutions apparaissent un peu plus facilement aussi bien dans l’esprit des populations elles-mêmes que des autorités", a-t-il souligné.
La réunion préparatoire visait à mobiliser le corps préfectoral, définir leur rôle et poser les bases de l’étude diagnostique qui se déroulera du 23 au 27 novembre dans les quatre départements et quatorze sous-préfectures de la région. Dans cette opération, le corps préfectoral jouera un rôle de supervision et contribuera au recrutement des enquêteurs en collaboration avec l’Institut national de la statistique (INS) et le comité technique pour l’élaboration du diagnostic local de la sécurité.
L’étude diagnostique locale de la sécurité permettra la mise en œuvre des réformes propres à la région, facilitera la mise en place d’un système de remontée d’informations et aboutira à la création du conseil régional de sécurité. Par ailleurs, elle servira de base à la déclinaison locale des 108 réformes arrêtées au niveau national et la cartographie des parties prenantes à la Réforme du secteur de la sécurité (RSS).
(AIP)
nbf/ask
L’expert en sécurité urbaine, Soumahoro Moussa, a indiqué que l’étude consistera à recenser toutes les infractions qui existent dans la région de Gbêkê, leurs auteurs, les victimes, les zones criminogènes, les périodes des crimes, la nature des infractions, le mode opératoire, puis à collecter les informations relatives notamment à l’urbanisation, à la santé et l’alimentation.
"Quand on a défini ces éléments, les solutions apparaissent un peu plus facilement aussi bien dans l’esprit des populations elles-mêmes que des autorités", a-t-il souligné.
La réunion préparatoire visait à mobiliser le corps préfectoral, définir leur rôle et poser les bases de l’étude diagnostique qui se déroulera du 23 au 27 novembre dans les quatre départements et quatorze sous-préfectures de la région. Dans cette opération, le corps préfectoral jouera un rôle de supervision et contribuera au recrutement des enquêteurs en collaboration avec l’Institut national de la statistique (INS) et le comité technique pour l’élaboration du diagnostic local de la sécurité.
L’étude diagnostique locale de la sécurité permettra la mise en œuvre des réformes propres à la région, facilitera la mise en place d’un système de remontée d’informations et aboutira à la création du conseil régional de sécurité. Par ailleurs, elle servira de base à la déclinaison locale des 108 réformes arrêtées au niveau national et la cartographie des parties prenantes à la Réforme du secteur de la sécurité (RSS).
(AIP)
nbf/ask