Février 2008, les rues du Plateau, à Abidjan, sont désertes. On dirait que toute la ville est sous couvre-feu. Ce qui surprend, c’est le silence de la nuit. Pas un bruit, rien.
Le centre est plongé dans le noir, les lampadaires ne fonctionnent plus, seuls les feux de circulation clignotent à l’orange par intermittence. Depuis les accords de Ouagadougou, conclus en mars 2007, Guillaume Soro, l’ancien chef de la rébellion, dirige un gouvernement de transition. La paix est néanmoins fragile, alors que la réunification du pays tarde à être effective, et que l’organisation des élections libres et transparentes prévues par l’accord ne semble pas être la priorité du président Laurent Gbagbo. suite de l'article sur Jeune Afrique
Le centre est plongé dans le noir, les lampadaires ne fonctionnent plus, seuls les feux de circulation clignotent à l’orange par intermittence. Depuis les accords de Ouagadougou, conclus en mars 2007, Guillaume Soro, l’ancien chef de la rébellion, dirige un gouvernement de transition. La paix est néanmoins fragile, alors que la réunification du pays tarde à être effective, et que l’organisation des élections libres et transparentes prévues par l’accord ne semble pas être la priorité du président Laurent Gbagbo. suite de l'article sur Jeune Afrique