Fulgence Assi, le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’ivoire (FESCI) a souhaité samedi , "la réduction des frais d’inscription dans le supérieur et l’augmentation des bourses ", a constaté l’Agence de Presse Africaine (APA) sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Comment comprendre que le SMIG soit fixé à 60000 francs, le coût des inscriptions dépassent ce montant parfois. La FESCI demande la réduction des frais d’inscriptions pourles universités et les grandes écoles », a-t-il souhaité au cours d’une conférencede presse à l’université Félix Houphouët Boigny.« Dans les grandes écoles privées, nous constatons que les frais d’inscription sont fixés de façon anarchique".
Pourtant un décret datant de 1998 stipule que les frais doivent osciller entre 35 000 et 45 000 francs cfa. Il faut que lesfrais soient homologués dans toutes les grandes écoles de Côte d’Ivoire »,a-t-il par ailleurs ajouté.
« Le taux d’attribution insignifiant » de la de labourse d’étude est aussi une préoccupation de ce mouvement estudiantin.Selon son Fulgence Assi , « à l’investiture Alassane Ouattara de Bouaké (Centre ivoirien) par exemple ,on a seulement 97 boursiers sur 25000 étudiants. C’est pourquoi nous souhaitons l’augmentation du budget alloué à la bourse car elle constitue un facteur de promotion de l’excellence du mérite ».
La FESCI a par ailleurs félicité tous les acteurs politiques pour avoir favorisé un scrutin présidentiel apaisé le 25 octobre dernier.Félicitant le chef de l’Etat réélu, Alassane Ouattara,Fulgence Assi a plaidé pour qu’il apporte des solutions à toutes sesdifficultés du monde scolaire.
SY/ls/APA
« Comment comprendre que le SMIG soit fixé à 60000 francs, le coût des inscriptions dépassent ce montant parfois. La FESCI demande la réduction des frais d’inscriptions pourles universités et les grandes écoles », a-t-il souhaité au cours d’une conférencede presse à l’université Félix Houphouët Boigny.« Dans les grandes écoles privées, nous constatons que les frais d’inscription sont fixés de façon anarchique".
Pourtant un décret datant de 1998 stipule que les frais doivent osciller entre 35 000 et 45 000 francs cfa. Il faut que lesfrais soient homologués dans toutes les grandes écoles de Côte d’Ivoire »,a-t-il par ailleurs ajouté.
« Le taux d’attribution insignifiant » de la de labourse d’étude est aussi une préoccupation de ce mouvement estudiantin.Selon son Fulgence Assi , « à l’investiture Alassane Ouattara de Bouaké (Centre ivoirien) par exemple ,on a seulement 97 boursiers sur 25000 étudiants. C’est pourquoi nous souhaitons l’augmentation du budget alloué à la bourse car elle constitue un facteur de promotion de l’excellence du mérite ».
La FESCI a par ailleurs félicité tous les acteurs politiques pour avoir favorisé un scrutin présidentiel apaisé le 25 octobre dernier.Félicitant le chef de l’Etat réélu, Alassane Ouattara,Fulgence Assi a plaidé pour qu’il apporte des solutions à toutes sesdifficultés du monde scolaire.
SY/ls/APA