Dans une déclaration produite le jeudi 12 novembre dernier, la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) a fait l’état des lieux des divers affrontements qui ont lieu ces dernières semaines, et appelé le gouvernement à engager des poursuites judiciaires contre les auteurs.
A la suite des affrontements de Neko, la CNDHCI a fait un tour d’horizon des conflits et, même ceux dont les medias n’ont pas fait cas. A cet effet, il a été de question de dresser un bilan en termes de dégâts matériels et de pertes en vie humaine. Aussi a –t- elle exprimé sa vive inquiétude face à la récurrence et à la violence de ces frictions, non sans interpeller le gouvernement. « Au regard des violations des Droits de l’Homme qu’occasionnent ces évènements, la CNDHCI demande au gouvernement de prendre les mesures appropriées pour faire toute la lumière, situer les responsabilités et mettre fin à l’impunité, en engageant des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces violations », précise la déclaration.
Par ailleurs, la Commission nationale des Droits de l’Homme se dit disposée à recevoir toutes les plaintes et dénonciations portant sur les cas de violations des Droits de l’Homme. Elle a toutefois invité les autorités administratives et politiques des localités concernées à intensifier leurs actions en faveur de la cohésion sociale.
C. DOSSOU
A la suite des affrontements de Neko, la CNDHCI a fait un tour d’horizon des conflits et, même ceux dont les medias n’ont pas fait cas. A cet effet, il a été de question de dresser un bilan en termes de dégâts matériels et de pertes en vie humaine. Aussi a –t- elle exprimé sa vive inquiétude face à la récurrence et à la violence de ces frictions, non sans interpeller le gouvernement. « Au regard des violations des Droits de l’Homme qu’occasionnent ces évènements, la CNDHCI demande au gouvernement de prendre les mesures appropriées pour faire toute la lumière, situer les responsabilités et mettre fin à l’impunité, en engageant des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces violations », précise la déclaration.
Par ailleurs, la Commission nationale des Droits de l’Homme se dit disposée à recevoir toutes les plaintes et dénonciations portant sur les cas de violations des Droits de l’Homme. Elle a toutefois invité les autorités administratives et politiques des localités concernées à intensifier leurs actions en faveur de la cohésion sociale.
C. DOSSOU