Abidjan - La Commission nationale des Droits de l’Hommes de Côte d’Ivoire (CNDHCI) appelle, à l’occasion de la célébration, vendredi, de la journée internationale des droits de l’enfant, à une mutualisation des efforts des acteurs œuvrant en la matière afin de permettre aux enfants ivoiriens de jouir effectivement de leurs droits.
La communauté mondiale célèbre chaque année le 20 novembre, la journée internationale des Droits de l’enfant, qui marque le jour de l’adoption par les Nations Unies de la Convention relative aux droits de l'enfant (CIDE), signée en 1989. La Côte d’Ivoire a ratifié la CIDE en 1991.
La CNDHCI, institution nationale en charge des Droits de l’Homme, se disant particulièrement intéressée par la situation de l’enfant ivoirien, a organisé jeudi un panel pour traiter de la question. La rencontre a été ponctuée par une déclaration officielle de la CNDHCI qui marquait ainsi l’événement.
L&rsquo ;institution dans cette déclaration a notamment déploré le fait que la prise en charge des droits de l’enfant en Côte d’Ivoire résulte de "mesures éparses isolées" qui ont encore beaucoup de mal à prendre en compte de manière efficace la problématique de son bien être.
"Les enfants restent en conséquence livrés à eux même en proie à de nombreux phénomènes sociaux tels ceux d’enfants de la rue, d’enfants soldats et d’enfants microbes", a noté l’organisation avant de proposer d’"engager de manière concertée des actions fortes susceptibles d’apporter des solutions durables aux difficultés que rencontrent les enfants de Côte d’Ivoire".
"La conception et la mise en œuvre, conformément aux engagements internationaux de la Côte d’Ivoire, d’une politique unique cohérente et claire de promotion et de protection des droits de l’enfant, devraient contribuer au renforcement du cadre juridique et des stratégies de protection de l’enfant dans notre pays", estime notamment la CNDHCI.
kg/kam
La communauté mondiale célèbre chaque année le 20 novembre, la journée internationale des Droits de l’enfant, qui marque le jour de l’adoption par les Nations Unies de la Convention relative aux droits de l'enfant (CIDE), signée en 1989. La Côte d’Ivoire a ratifié la CIDE en 1991.
La CNDHCI, institution nationale en charge des Droits de l’Homme, se disant particulièrement intéressée par la situation de l’enfant ivoirien, a organisé jeudi un panel pour traiter de la question. La rencontre a été ponctuée par une déclaration officielle de la CNDHCI qui marquait ainsi l’événement.
L&rsquo ;institution dans cette déclaration a notamment déploré le fait que la prise en charge des droits de l’enfant en Côte d’Ivoire résulte de "mesures éparses isolées" qui ont encore beaucoup de mal à prendre en compte de manière efficace la problématique de son bien être.
"Les enfants restent en conséquence livrés à eux même en proie à de nombreux phénomènes sociaux tels ceux d’enfants de la rue, d’enfants soldats et d’enfants microbes", a noté l’organisation avant de proposer d’"engager de manière concertée des actions fortes susceptibles d’apporter des solutions durables aux difficultés que rencontrent les enfants de Côte d’Ivoire".
"La conception et la mise en œuvre, conformément aux engagements internationaux de la Côte d’Ivoire, d’une politique unique cohérente et claire de promotion et de protection des droits de l’enfant, devraient contribuer au renforcement du cadre juridique et des stratégies de protection de l’enfant dans notre pays", estime notamment la CNDHCI.
kg/kam