Le Groupe de travail pour la réforme de la filière hévéa-palmier à huile a été officiellement installé lundi par le ministre de l’Agriculture, Sangafowa Mamadou Coulibaly, à l’issue d’une réunion au cours de laquelle les membres ont été présentés et instruits sur leur feuille de route.
Composé d’une douzaine de membres issus de l’administration agricole et des organisations professionnelles des cultures concernées, le Groupe de travail hévéa-palmier est présidé par Coulibaly Siaka Minayaha, directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture.
Le premier responsable de l’Agriculture a insisté sur les responsabilités et les attentes du Groupe, insistant que les membres ont été choisis « pas par affinité encore moins par complaisance », mais plutôt sur des critères reposant sur leurs qualités professionnelle, leur expertises reconnues et leur probité morale.
Le Groupe dispose donc d’un délai initial d’un mois pour produire un document de qualité devant jeter les bases de la réforme de la filière. Il devra prendre en compte la question de la gouvernance du secteur, le principe d’équilibre et d’équité vis-à-vis de chaque collège, les exigences de productivité et de compétitivité. En somme, « le but de cette réforme, c’est de rendre robuste la filière en termes de gouvernance pour faire face aux chocs exogènes », a résumé le ministre, expliquant qu’elle doit être adaptée à l’environnement de la filière.
Le but, c’est de sortir de ‘’draft zero’’ à partager par la suite avec les ministres concernés, les interprofessions, les partenaires au développement avant l’adoption au conseil des ministres. La réforme des filières agricoles procède d’une annonce faite par le Président de la République, Alassane Ouattara, dont l’ambition est d’améliorer les conditions de travail et de vie des paysans. Une promesse qu’il a réaffirmée lors de sa visite d’Etat dans la région des Grands Ponts.
Premier producteur africain de caoutchouc naturel avec 350.000 T représentant toutefois moins de 3% de l’offre mondiale, la Côte d’Ivoire pèse également en deçà d’un pour cent de la production globale de palmier à huile. Ces deux filières sont confrontées depuis quelques années à une chute des prix d’achat.
(AIP)
cmas
Composé d’une douzaine de membres issus de l’administration agricole et des organisations professionnelles des cultures concernées, le Groupe de travail hévéa-palmier est présidé par Coulibaly Siaka Minayaha, directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture.
Le premier responsable de l’Agriculture a insisté sur les responsabilités et les attentes du Groupe, insistant que les membres ont été choisis « pas par affinité encore moins par complaisance », mais plutôt sur des critères reposant sur leurs qualités professionnelle, leur expertises reconnues et leur probité morale.
Le Groupe dispose donc d’un délai initial d’un mois pour produire un document de qualité devant jeter les bases de la réforme de la filière. Il devra prendre en compte la question de la gouvernance du secteur, le principe d’équilibre et d’équité vis-à-vis de chaque collège, les exigences de productivité et de compétitivité. En somme, « le but de cette réforme, c’est de rendre robuste la filière en termes de gouvernance pour faire face aux chocs exogènes », a résumé le ministre, expliquant qu’elle doit être adaptée à l’environnement de la filière.
Le but, c’est de sortir de ‘’draft zero’’ à partager par la suite avec les ministres concernés, les interprofessions, les partenaires au développement avant l’adoption au conseil des ministres. La réforme des filières agricoles procède d’une annonce faite par le Président de la République, Alassane Ouattara, dont l’ambition est d’améliorer les conditions de travail et de vie des paysans. Une promesse qu’il a réaffirmée lors de sa visite d’Etat dans la région des Grands Ponts.
Premier producteur africain de caoutchouc naturel avec 350.000 T représentant toutefois moins de 3% de l’offre mondiale, la Côte d’Ivoire pèse également en deçà d’un pour cent de la production globale de palmier à huile. Ces deux filières sont confrontées depuis quelques années à une chute des prix d’achat.
(AIP)
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