Abidjan - Les Chefs d’Institution de la CEDEAO et de l’UEMOA, réunis à Abuja mardi au Nigeria dans le cadre de la 15ème Session des rencontres interinstitutionnelles, ont mis en exergue la nécessité de diversifier les économies et de renforcer le processus d’intégration afin d'accroître davantage le niveau de la croissance économique de la région.
Au cours de cette rencontre, le Président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo et son homologue Cheikhe Hadjibou Soumaré de l’UEMOA ont fait le point sur l’état d’avancement du processus de convergence et de mise en cohérence des politiques et chantiers communautaires et ont passé en revue l’actualité économique dans la région, rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis mercredi à l’AIP.
De l’analyse de la situation économique faite par les Chefs d’Institution, il ressort une baisse prévisionnelle du taux de croissance de la région qui devrait passer de 6,5% en 2014 à 4,2% en 2015. Ce repli qui ramène l’Afrique de l’Ouest au second rang des régions africaines après l’Afrique de l’Est (5,3%) s’explique par la baisse des prix des matières premières (pétrole, or, fer), la fièvre à virus Ebola, ainsi que les actes terroristes menés dans la région.
Face à ces défis multiformes, les Chefs d’Institution ont insisté sur la nécessité pour les deux Commissions de travailler en symbiose afin de parvenir à une convergence coordonnée et cohérente des Programmes et Projets communs telle que souhaitée par les Chefs d’Etat et de Gouvernement.
(AIP)
cmas
Au cours de cette rencontre, le Président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo et son homologue Cheikhe Hadjibou Soumaré de l’UEMOA ont fait le point sur l’état d’avancement du processus de convergence et de mise en cohérence des politiques et chantiers communautaires et ont passé en revue l’actualité économique dans la région, rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis mercredi à l’AIP.
De l’analyse de la situation économique faite par les Chefs d’Institution, il ressort une baisse prévisionnelle du taux de croissance de la région qui devrait passer de 6,5% en 2014 à 4,2% en 2015. Ce repli qui ramène l’Afrique de l’Ouest au second rang des régions africaines après l’Afrique de l’Est (5,3%) s’explique par la baisse des prix des matières premières (pétrole, or, fer), la fièvre à virus Ebola, ainsi que les actes terroristes menés dans la région.
Face à ces défis multiformes, les Chefs d’Institution ont insisté sur la nécessité pour les deux Commissions de travailler en symbiose afin de parvenir à une convergence coordonnée et cohérente des Programmes et Projets communs telle que souhaitée par les Chefs d’Etat et de Gouvernement.
(AIP)
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