Rencontré hier en plein conseil syndical avec 200 de ses secrétaires généraux de section dans un célèbre maquis de Cocody, Assi Fulgence Assi, secrétaire général de la Fesci, très décontracté et sûr de lui, a commenté la radiation de 6 membres du bureau exécutif national de sa fédération, dont lui-même. Pour lui, la décision, prise jeudi dernier par le Conseil de l’université de Cocody, «est partisane». Il a expliqué que l’implication de 8 membres du Ben de la Fesci n’a pas été prouvée par ledit Conseil. «Aujourd’hui, on ne juge plus la Fesci par ses actions positives. C’est tout simplement un complot pour nous réduire au silence, et après dissoudre la Fesci tout simplement», a-t-il martelé.
Selon lui, la présidente de l’université de Cocody, Pr. Bakayoko Ly Ramata, en veut à la Fesci parce qu’elle a refusé d’être membre de l’Association des étudiants de l’université de Cocody qu’elle a créée pour phagocyter la Fesci. «Nous avons refusé cette offre suicidaire pour notre organisation syndicale. Certains de nos membres ont été convoqués à ce conseil alors qu’ils ne sont plus militants de la Fesci, alors qu’ils n’étaient pas à Abidjan au moment des faits, plus grave, alors qu’ils ne sont même pas inscrits à l’université de Cocody. Les stratégies, comme celle-là, pour diaboliser la Fesci ont échoué», a-t-il dit. A l’en croire, il ne se sent ni concerné par sa radiation ni par celle des cinq camarades de son Ben, encore moins par la suspension des activités de la Fesci.
«J’appelle tous les étudiants à ne pas se laisser distraire par ces mesures. Nous avons un défi à relever. Celui d’améliorer les conditions de vie et de travail des tous les élèves et étudiants de Côte d’Ivoire. Trop d’injustices entrainent des frustrations et des situations incontrôlables, comme celles d’hier sur le campus de Cocody. Jusqu’à présent, nous ne savons pas pourquoi, nous avons été radiés. C’est la Fesci qui a été attaquée par l’Ageeci et qui a perdu l’un des siens. La paix reviendra à l’université lorsque les 5 militants de l’Ageeci et leurs complices écroués à la Maca seront jugés et condamnés. Et non pas parce que la Fesci a été sanctionnée. On veut forcément nous faire porter le chapeau des violences alors que nous n’en sommes pas responsables», s’est-il défendu.
Pour le secrétaire général de la Fesci, la présidente de l’université doit démissionner suite aux récentes fraudes massives à l’inscription en ligne, dans lesquelles sont impliqués, a-t-il poursuivi, certains de ses collaborateurs. Selon des sources dignes de foi, 8 membres du bureau de la Fesci, en l’absence du secrétaire général, Assi Fulgence Assi, ont été reçus par un proche collaborateur du ministre de l’Intérieur. Ils ont été félicités pour leurs actions de paix depuis 2011.
C.B
Selon lui, la présidente de l’université de Cocody, Pr. Bakayoko Ly Ramata, en veut à la Fesci parce qu’elle a refusé d’être membre de l’Association des étudiants de l’université de Cocody qu’elle a créée pour phagocyter la Fesci. «Nous avons refusé cette offre suicidaire pour notre organisation syndicale. Certains de nos membres ont été convoqués à ce conseil alors qu’ils ne sont plus militants de la Fesci, alors qu’ils n’étaient pas à Abidjan au moment des faits, plus grave, alors qu’ils ne sont même pas inscrits à l’université de Cocody. Les stratégies, comme celle-là, pour diaboliser la Fesci ont échoué», a-t-il dit. A l’en croire, il ne se sent ni concerné par sa radiation ni par celle des cinq camarades de son Ben, encore moins par la suspension des activités de la Fesci.
«J’appelle tous les étudiants à ne pas se laisser distraire par ces mesures. Nous avons un défi à relever. Celui d’améliorer les conditions de vie et de travail des tous les élèves et étudiants de Côte d’Ivoire. Trop d’injustices entrainent des frustrations et des situations incontrôlables, comme celles d’hier sur le campus de Cocody. Jusqu’à présent, nous ne savons pas pourquoi, nous avons été radiés. C’est la Fesci qui a été attaquée par l’Ageeci et qui a perdu l’un des siens. La paix reviendra à l’université lorsque les 5 militants de l’Ageeci et leurs complices écroués à la Maca seront jugés et condamnés. Et non pas parce que la Fesci a été sanctionnée. On veut forcément nous faire porter le chapeau des violences alors que nous n’en sommes pas responsables», s’est-il défendu.
Pour le secrétaire général de la Fesci, la présidente de l’université doit démissionner suite aux récentes fraudes massives à l’inscription en ligne, dans lesquelles sont impliqués, a-t-il poursuivi, certains de ses collaborateurs. Selon des sources dignes de foi, 8 membres du bureau de la Fesci, en l’absence du secrétaire général, Assi Fulgence Assi, ont été reçus par un proche collaborateur du ministre de l’Intérieur. Ils ont été félicités pour leurs actions de paix depuis 2011.
C.B
