Abidjan (Côte d’Ivoire) - "On va se réconcilier pian ! », est l’ouvrage du journaliste ivoirien, Cheick Yvhane qui vient de paraître où il est mis en exergue le quotidien de la société et retraçant l’histoire sociopolitique de la Côte d’Ivoire sur fond de satire.
Cette œuvre littéraire de 123 pages est présentée par l’auteur comme un petit manuel de poche parce qu’elle est «atypique, difficile à ranger dans une catégorie précise en ce sens qu’elle rompt avec les
formats littéraires classiques ».
A ce sujet, l’ex Président international (2007-2010) de l’Union de la presse francophone (UPF), Alfred Dan Moussa, par ailleurs, Directeur de l’Institut des sciences et techniques de la Communication
(ISTC) qui a écrit la préface, rejoint le journaliste-écrivain en indiquant qu’il se présente comme « une tribune de l’irrévérence vis-à-vis de l’écriture littéraire ».
Le titre, «Côte d’Ivoire, On va se réconcilier pian !» en est une parfaite illustration. « Le nouvel ordre religieux » décriant « les petits lieux de culte toutes tendances confondues » qui « se créent à la pelle» , « thé ou café» où des maux de la société sont passés aux peignes fin ainsi que
les grossesses en milieu scolaire, les mauvaises tenues vestimentaires, les défécations dans la rue.
Il est également dépeint « les défauts de fabrication des grands groupes ethniques de Côte d’Ivoire ».
Pour Alfred Dan Moussa, « l’auteur fait feu de tout bois pour amener les lecteurs à la lumière de la réconciliation nationale des habitants de la Côte d’Ivoire au lendemain de la crise sociopolitique de la
décennie écoulée ».
Des caricatures en guise d’illustration, l’utilisation d’un langage soutenu, de l’argot urbain ivoirien, le Nouchi, et des mots issus des ethnies et autres peuples qui vivent sur la terre d’Eburnie se
côtoient dans ce manuel de poche digeste.
La différence, persiste, l’auteur « n’est pas une fatalité, elle gagnerait plutôt à être muée en atout ».Un livre d’actualité au moment où les Ivoiriens sont à la recherche d’une paix durable, d’une vraie
réconciliation et d’une cohésion sociale dans leur pays pour en faire un modèle comme dans le passé.
Cheick Yvhane est à sa deuxième production littéraire après « Regard, chroniques illustrées » parue en 2012, une version écrite de ses chroniques hebdomadaire diffusées sur les ondes de la radio
commerciale Nostalgie Côte d’Ivoire où il officie en tant que journaliste. Il en est le Directeur des Programmes et Rédacteur en chef.
Il a décroché le Prix du meilleur journaliste radio de Côte d`Ivoire en 2006 lors de la soirée annuelle de distinction des meilleurs journalistes ivoiriens dénommée « Ebony » organisée par l`Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci).
SY/hs/ls/APA
Cette œuvre littéraire de 123 pages est présentée par l’auteur comme un petit manuel de poche parce qu’elle est «atypique, difficile à ranger dans une catégorie précise en ce sens qu’elle rompt avec les
formats littéraires classiques ».
A ce sujet, l’ex Président international (2007-2010) de l’Union de la presse francophone (UPF), Alfred Dan Moussa, par ailleurs, Directeur de l’Institut des sciences et techniques de la Communication
(ISTC) qui a écrit la préface, rejoint le journaliste-écrivain en indiquant qu’il se présente comme « une tribune de l’irrévérence vis-à-vis de l’écriture littéraire ».
Le titre, «Côte d’Ivoire, On va se réconcilier pian !» en est une parfaite illustration. « Le nouvel ordre religieux » décriant « les petits lieux de culte toutes tendances confondues » qui « se créent à la pelle» , « thé ou café» où des maux de la société sont passés aux peignes fin ainsi que
les grossesses en milieu scolaire, les mauvaises tenues vestimentaires, les défécations dans la rue.
Il est également dépeint « les défauts de fabrication des grands groupes ethniques de Côte d’Ivoire ».
Pour Alfred Dan Moussa, « l’auteur fait feu de tout bois pour amener les lecteurs à la lumière de la réconciliation nationale des habitants de la Côte d’Ivoire au lendemain de la crise sociopolitique de la
décennie écoulée ».
Des caricatures en guise d’illustration, l’utilisation d’un langage soutenu, de l’argot urbain ivoirien, le Nouchi, et des mots issus des ethnies et autres peuples qui vivent sur la terre d’Eburnie se
côtoient dans ce manuel de poche digeste.
La différence, persiste, l’auteur « n’est pas une fatalité, elle gagnerait plutôt à être muée en atout ».Un livre d’actualité au moment où les Ivoiriens sont à la recherche d’une paix durable, d’une vraie
réconciliation et d’une cohésion sociale dans leur pays pour en faire un modèle comme dans le passé.
Cheick Yvhane est à sa deuxième production littéraire après « Regard, chroniques illustrées » parue en 2012, une version écrite de ses chroniques hebdomadaire diffusées sur les ondes de la radio
commerciale Nostalgie Côte d’Ivoire où il officie en tant que journaliste. Il en est le Directeur des Programmes et Rédacteur en chef.
Il a décroché le Prix du meilleur journaliste radio de Côte d`Ivoire en 2006 lors de la soirée annuelle de distinction des meilleurs journalistes ivoiriens dénommée « Ebony » organisée par l`Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci).
SY/hs/ls/APA
