Six mois arriérés de bourses et deux mois de retard d’allocations de stage telles sont raisons qui ont poussé les étudiants de l’Institut National de Formation des Agents de Santé (Infas) à manifester bruyamment le lundi 14 décembre 2015 leur ras-bol au Centre hospitalier universitaire de Treichville. La bourse est évaluée pour chaque étudiant à 49 500 francs/mois soit un montant de 297 000 francs. A cela, s’ajoutent les deux mois de retard d’allocations de stage qui montent à 90 000 francs soit 45 000 francs/mois.
Face au débrayage des étudiants, Konan Benoit, directeur de l’Infas a saisi le Trésor public pour donner satisfaction aux revendications. Ainsi, il a été décidé que ce mardi 15 décembre 2015, une partie des arriérés soit versée aux étudiants et l’autre partie, le vendredi 18 décembre 2015.
Cependant, les étudiants accusent le directeur de l’Infas de les intimider lorsqu’ils se plaignent contre les dix (10) mille francs prélevés sur leurs bourses. Pis, ils ajoutent que l’Infas leur a donné des ordinateurs de mauvaise qualité dont le prélèvement correspond aux dix mille francs prélévés. Tout est rentré dans l’ordre le lundi 14 décembre en attendant que le Trésor public donne une suite favorable aux revendications des étudiants.
M. Ouattara
Face au débrayage des étudiants, Konan Benoit, directeur de l’Infas a saisi le Trésor public pour donner satisfaction aux revendications. Ainsi, il a été décidé que ce mardi 15 décembre 2015, une partie des arriérés soit versée aux étudiants et l’autre partie, le vendredi 18 décembre 2015.
Cependant, les étudiants accusent le directeur de l’Infas de les intimider lorsqu’ils se plaignent contre les dix (10) mille francs prélevés sur leurs bourses. Pis, ils ajoutent que l’Infas leur a donné des ordinateurs de mauvaise qualité dont le prélèvement correspond aux dix mille francs prélévés. Tout est rentré dans l’ordre le lundi 14 décembre en attendant que le Trésor public donne une suite favorable aux revendications des étudiants.
M. Ouattara