La coordination nationale des enseignants chercheurs de Côte d’Ivoire CNEC s’est opposée mercredi, à la dissolution de syndicats estudiantins légalement reconnus, après des heurts entre la (FESCI et AGEECI, principaux mouvements estudiantins), à l’université de Cocody Est Abidjan, qui ont fait un mort.
La CNEC est d’"avis avec la décision de radier les responsables des violences, mais s’oppose à la dissolution des syndicats reconnus", a affirmé son sécrétaire général, Johnson Kouassi Zamina, alors d’une assemblée générale.
Le 20 novembre, un étudiant a été tué et six autres blessés après les heurts entre syndicats rivaux pour le contrôle d’un quai de bus situé à proximité de l’université de Cocody, la plus grande du pays.
A la suite de ces évènements, le Conseil de l’université d’Abidjan avait décidé de dissoudre les syndicacats rivaux et l’exclusion de 12 de leurs membres.
Le secrétaire général de la CNEC a affirmé que la décision du conseil de l’université de dissoudre la FESCI et l’AGEECI est "anticonstitutionnelle" et "ne peut être acceptée" par son syndicat.
IZO
La CNEC est d’"avis avec la décision de radier les responsables des violences, mais s’oppose à la dissolution des syndicats reconnus", a affirmé son sécrétaire général, Johnson Kouassi Zamina, alors d’une assemblée générale.
Le 20 novembre, un étudiant a été tué et six autres blessés après les heurts entre syndicats rivaux pour le contrôle d’un quai de bus situé à proximité de l’université de Cocody, la plus grande du pays.
A la suite de ces évènements, le Conseil de l’université d’Abidjan avait décidé de dissoudre les syndicacats rivaux et l’exclusion de 12 de leurs membres.
Le secrétaire général de la CNEC a affirmé que la décision du conseil de l’université de dissoudre la FESCI et l’AGEECI est "anticonstitutionnelle" et "ne peut être acceptée" par son syndicat.
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