L’Université Alassane Ouattara a organisé le lundi 21 décembre 2015, la grande cérémonie de célébration des promus du CAMES à l’amphithéâtre C du Campus 2 de ladite Université. Cette cérémonie était placée sous la présidence du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Gnamien Konan.
A cette occasion, le président de l’Université Alassane Ouattara, le Prof Lazare POAME a dit une allocution que nous vous proposons en intégralité.
Monsieur le Représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique,
Monsieur le Secrétaire Général du CAMES,
Monsieur le Préfet de Région,
Monsieur le Maire de Bouaké,
Mesdames et Messieurs les élus de la Région,
Monsieur le Conseiller du Président de la République,
Monsieur le Président de l’Université Péléforo Gon Coulibaly,
Monsieur le Professeur Komlan Nubukpo, ex-Ministre de l’Enseignement supérieur du Togo,
Messieurs les Représentants des Présidents des Universités,
Monsieur le Vice-Président de l’UAO,
Monsieur le Secrétaire général,
Madame et Messieurs les Doyens des UFR,
Messieurs les Directeurs de Centres,
Mesdames et Messieurs les Chefs de services,
Mesdames et Messieurs les Chefs de départements,
Mesdames et Messieurs les Enseignants-Chercheurs,
Chers collaborateurs du personnel administratif et technique,
Chers étudiants,
Chers amis de la presse,
Mesdames et Messieurs,
À partir de cet instant où nous prenons la parole, ici, dans cet amphithéâtre du Campus 2 de l’Université Alassane Ouattara, la date du 21 décembre 2015 sera marquée d’une pierre blanche et ce, pour plusieurs raisons : c’est la première fois que nous recevons à l’Université de Bouaké, devenue Université Alassane Ouattara, le Secrétaire général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur, en abrégé CAMES.
C’est aussi la première fois que nous célébrons, depuis le retour de l’Université sur son site originel et original tous les promus du CAMES.
C’est encore la première fois que des promus, dans l’espace inter-africain du CAMES, seront célébrés avec des insignes marquées du sceau du CAMES.
C’est pourquoi, nous tenons, avant de poursuivre notre propos, à remercier très sincèrement, tout d’abord, le Président de la République, son Excellence Monsieur Alassane Ouattara dont notre institution porte le nom, d’avoir permis la réhabilitation de l’Université et surtout la résurrection du Campus 2 qui abrite cette cérémonie.
Nous tenons également à remercier Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Monsieur Gnamien Konan, pour son implication permanente et décisive dans toutes les actions susceptibles de marquer qualitativement la recherche scientifique.
Que dire, à présent, de Monsieur le Secrétaire général du CAMES, le Professeur Bertrand M’BATCHI ? Monsieur le Secrétaire Général, votre présence dans l’espace universitaire de Bouaké, aujourd’hui où nous célébrons les promus du CAMES, nous rend particulièrement heureux, car que serait cette célébration sans celui qui a su donner au CAMES cette impulsion nouvelle qui l’inscrit résolument sur la liste des institutions africaines qui appellent respect et admiration.
En effet, avec vous, le CAMES s’est mué en une Institution forte d’un système d’information et de communication moderne, d’un Code d’éthique et de déontologie et d’un plan stratégique de développement qui lui permettront de rivaliser avec les plus grandes institutions scientifiques du monde. Le CAMES est aujourd’hui un précieux outil d’évaluation des universités et des productions scientifiques des enseignants-chercheurs et des chercheurs sur lequel peuvent valablement s’appuyer tous les États désireux d’aller à l’émergence sans turbulence. Recevez, Monsieur le Secrétaire général, les remerciements de toute la Communauté universitaire.
Que dire également du Professeur Komlan Fidèle Nubukpo, ex-Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Togo ? Monsieur le Ministre, aucun mot ne sera assez fort pour vous dire merci d’avoir été à nos côtés pendant toutes ces années, de 2003 à ce jour, d’avoir contribué à la formation des étudiants et à la promotion des enseignants-chercheurs de l’UAO.
Les mots étant incapables d’investir toute la sphère sémantique qui structure l’expression de notre gratitude, nous avons pris l’option d’en faire l’économie pour traduire en actes les remerciements des acteurs de l’Université à tous ceux qui, de manière singulière, ont œuvré pour le positionnement honorable de notre institution dans l’espace CAMES. Nous pensons tout particulièrement au Président Koménan Aka Landry, aux Professeurs Abou Karamoko, Bléou Martin, Mohammadou Mérawa, Ignace Biaka, Mélèdje Djédjero, au Maître de Conférences et Conseiller du Président de la République, Adama Diawara.
Mesdames et Messieurs,
Les promus que nous célébrons aujourd’hui ont travaillé d’arrache-pied. Ils ont consenti d’énormes sacrifices allant de la ruine des appétits concupiscibles à l’ascèse philosophique. Ils ont même frôlé, pour certains, le surmenage, mettant à mal leur ménage, en pressant démesurément leurs méninges afin de faire valoir internationalement leurs productions scientifiques, leur savoir-faire pédagogique auquel il convient désormais d’ajouter, avec le Code d’éthique et de déontologie du CAMES, leur savoir-être pour mériter les trois (3) grades symbolisés, ici, par les insignes étoilés allant de deux (2) à cinq (5) étoiles qu’ils recevront au cours de cette cérémonie qui nous réunit. L’insigne avec deux (2) étoiles pour les Maîtres-Assistants, quatre (4) étoiles pour les Maîtres de Conférences et cinq (5) étoiles, destinées aux Professeurs Titulaires.
Ces insignes ont été spécialement conçus par nous-même (Prof. Lazare POAME) et produits par le CAMES pour être le reflet lumineux de la hiérarchie universitaire.
Le Maître-Assistant est un Enseignant-Chercheur affranchi de l’assistanat et autorisé à encadrer les étudiants et les assistants sous la responsabilité scientifique d’un enseignant de rang magistral.
Si selon Einstein, il est plus difficile de désagréger un préjugé qu’un atome, force est de reconnaître qu’il est plus difficile de passer du grade de Maître-Assistant à celui de Maître de Conférences ou de Maître de Conférences agrégé que de désagréger un préjugé.
Que dire alors du grade de Professeur Titulaire qui (inter)vient après le grade de Maître de Conférences agrégé ou de Maître de Conférences tout court ?
Le Professeur Titulaire est le dépositaire de la compétence universitaire qui garantit l’universalité de l’Université. Le Professeur Titulaire est un Universitaire hors-hiérarchie appelé à jouer le rôle de chef d’orchestre dans tous les compartiments scientifiques et pédagogiques de l’Université. Puissance tutélaire pour les jeunes chercheurs, le Professeur Titulaire a ainsi le devoir de sauvegarder et de faire valoir les valeurs fondatrices de l’Université.
C’est le lieu de féliciter les 171 Maîtres-Assistants, 71 Maîtres de Conférences et 47 Professeurs Titulaires que compte l’UAO pour les prouesses réalisées au CAMES.
En effet, en parcourant le cahier des palmarès des examens et concours du CAMES, l’on peut y lire :
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Médecine ;
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Sciences de Gestion ;
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Sciences juridiques ;
Cent pour cent (100%) aux CTS Lettres et Sciences Humaines pour les Maîtres de Conférences et les Professeurs Titulaires.
Grâce à ces résultats qui honorent à la fois l’Institution et le nom qu’elle porte, l’Université Alassane Ouattara peut se targuer d’être aujourd’hui une Université qui a fait de l’excellence une praxis au sens francfortien du terme.
Ces prouesses, nous les devons aussi à tous ceux qui, au cours de l’année universitaire 1992-1993, ont tracé les sillons de notre Institution, entendez les Pionniers de l’Université de Bouaké devenue Université Alassane Ouattara. Il s’agit précisément des Professeurs Kouakou N’guessan François, 1er Président de l’Université de Bouaké, Niamkey Koffi, 1er Directeur de l’École des Lettres, Okou Légré, 1er Directeur de l’École de Droit, Lazare POAME, Yapi Ayénon, Francis Akindès, Abé N’doumi, des Maîtres de Conférences Aka Bédia, des Docteurs Hélène Koffi, Bini Kouakou, Yapi Jacob, Bohué Martin, Yéssoh Bragahi, Cissé Hamadou, Apkoué Kouassi, Brou Kouadio, Sakanou Benoît, Touré Tinnin, Koné Ismaël, Messieurs Touré Tamikolo, 1er Secrétaire Principal, Yao Paul…
Ces hommes et ces femmes Pionniers recevront des parchemins pour avoir ouvert, dans des conditions de travail extrêmement difficiles, l’Université et les chemins de l’excellence scientifique et éthicologique.
À côté de ces prouesses, certains Enseignants-Chercheurs seront récompensés en raison de la singularité de leur posture dans la hiérarchie universitaire et d’autres, pour l’effort de vulgarisation scientifique de leurs travaux.
Nous ne saurions terminer notre propos sans remercier chaleureusement le Comité d’organisation de cette cérémonie et tous ceux qui ont effectué le déplacement pour partager avec nous ces instants uniques dans l’histoire de l’UAO. Ces propos s’adressent particulièrement à Monsieur le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Kpangni Moro Albert, à Monsieur le Président de l’Université de Korhogo, Adama Coulibaly, Monsieur le Représentant du Préfet de Région, Djandet Lorgn, toujours présent à nos côtés, Monsieur le Maire Nicolas Djibo de la commune de Bouaké, Madame la Directrice du CROU de Bouaké, Madame Brou Kouassi, qui forme avec nous un couple académique exemplaire.
Mesdames et Messieurs, à l’orée de 2016, nous formons le vœu de voir disparaître dans les années à venir l’idée persistante selon laquelle si les ressources humaines sont notre puissance, les infrastructures demeurent notre impuissance.
Je vous remercie.
Prof. Lazare POAME
Président de l’Université Alassane Ouattara
A cette occasion, le président de l’Université Alassane Ouattara, le Prof Lazare POAME a dit une allocution que nous vous proposons en intégralité.
Monsieur le Représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique,
Monsieur le Secrétaire Général du CAMES,
Monsieur le Préfet de Région,
Monsieur le Maire de Bouaké,
Mesdames et Messieurs les élus de la Région,
Monsieur le Conseiller du Président de la République,
Monsieur le Président de l’Université Péléforo Gon Coulibaly,
Monsieur le Professeur Komlan Nubukpo, ex-Ministre de l’Enseignement supérieur du Togo,
Messieurs les Représentants des Présidents des Universités,
Monsieur le Vice-Président de l’UAO,
Monsieur le Secrétaire général,
Madame et Messieurs les Doyens des UFR,
Messieurs les Directeurs de Centres,
Mesdames et Messieurs les Chefs de services,
Mesdames et Messieurs les Chefs de départements,
Mesdames et Messieurs les Enseignants-Chercheurs,
Chers collaborateurs du personnel administratif et technique,
Chers étudiants,
Chers amis de la presse,
Mesdames et Messieurs,
À partir de cet instant où nous prenons la parole, ici, dans cet amphithéâtre du Campus 2 de l’Université Alassane Ouattara, la date du 21 décembre 2015 sera marquée d’une pierre blanche et ce, pour plusieurs raisons : c’est la première fois que nous recevons à l’Université de Bouaké, devenue Université Alassane Ouattara, le Secrétaire général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur, en abrégé CAMES.
C’est aussi la première fois que nous célébrons, depuis le retour de l’Université sur son site originel et original tous les promus du CAMES.
C’est encore la première fois que des promus, dans l’espace inter-africain du CAMES, seront célébrés avec des insignes marquées du sceau du CAMES.
C’est pourquoi, nous tenons, avant de poursuivre notre propos, à remercier très sincèrement, tout d’abord, le Président de la République, son Excellence Monsieur Alassane Ouattara dont notre institution porte le nom, d’avoir permis la réhabilitation de l’Université et surtout la résurrection du Campus 2 qui abrite cette cérémonie.
Nous tenons également à remercier Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Monsieur Gnamien Konan, pour son implication permanente et décisive dans toutes les actions susceptibles de marquer qualitativement la recherche scientifique.
Que dire, à présent, de Monsieur le Secrétaire général du CAMES, le Professeur Bertrand M’BATCHI ? Monsieur le Secrétaire Général, votre présence dans l’espace universitaire de Bouaké, aujourd’hui où nous célébrons les promus du CAMES, nous rend particulièrement heureux, car que serait cette célébration sans celui qui a su donner au CAMES cette impulsion nouvelle qui l’inscrit résolument sur la liste des institutions africaines qui appellent respect et admiration.
En effet, avec vous, le CAMES s’est mué en une Institution forte d’un système d’information et de communication moderne, d’un Code d’éthique et de déontologie et d’un plan stratégique de développement qui lui permettront de rivaliser avec les plus grandes institutions scientifiques du monde. Le CAMES est aujourd’hui un précieux outil d’évaluation des universités et des productions scientifiques des enseignants-chercheurs et des chercheurs sur lequel peuvent valablement s’appuyer tous les États désireux d’aller à l’émergence sans turbulence. Recevez, Monsieur le Secrétaire général, les remerciements de toute la Communauté universitaire.
Que dire également du Professeur Komlan Fidèle Nubukpo, ex-Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Togo ? Monsieur le Ministre, aucun mot ne sera assez fort pour vous dire merci d’avoir été à nos côtés pendant toutes ces années, de 2003 à ce jour, d’avoir contribué à la formation des étudiants et à la promotion des enseignants-chercheurs de l’UAO.
Les mots étant incapables d’investir toute la sphère sémantique qui structure l’expression de notre gratitude, nous avons pris l’option d’en faire l’économie pour traduire en actes les remerciements des acteurs de l’Université à tous ceux qui, de manière singulière, ont œuvré pour le positionnement honorable de notre institution dans l’espace CAMES. Nous pensons tout particulièrement au Président Koménan Aka Landry, aux Professeurs Abou Karamoko, Bléou Martin, Mohammadou Mérawa, Ignace Biaka, Mélèdje Djédjero, au Maître de Conférences et Conseiller du Président de la République, Adama Diawara.
Mesdames et Messieurs,
Les promus que nous célébrons aujourd’hui ont travaillé d’arrache-pied. Ils ont consenti d’énormes sacrifices allant de la ruine des appétits concupiscibles à l’ascèse philosophique. Ils ont même frôlé, pour certains, le surmenage, mettant à mal leur ménage, en pressant démesurément leurs méninges afin de faire valoir internationalement leurs productions scientifiques, leur savoir-faire pédagogique auquel il convient désormais d’ajouter, avec le Code d’éthique et de déontologie du CAMES, leur savoir-être pour mériter les trois (3) grades symbolisés, ici, par les insignes étoilés allant de deux (2) à cinq (5) étoiles qu’ils recevront au cours de cette cérémonie qui nous réunit. L’insigne avec deux (2) étoiles pour les Maîtres-Assistants, quatre (4) étoiles pour les Maîtres de Conférences et cinq (5) étoiles, destinées aux Professeurs Titulaires.
Ces insignes ont été spécialement conçus par nous-même (Prof. Lazare POAME) et produits par le CAMES pour être le reflet lumineux de la hiérarchie universitaire.
Le Maître-Assistant est un Enseignant-Chercheur affranchi de l’assistanat et autorisé à encadrer les étudiants et les assistants sous la responsabilité scientifique d’un enseignant de rang magistral.
Si selon Einstein, il est plus difficile de désagréger un préjugé qu’un atome, force est de reconnaître qu’il est plus difficile de passer du grade de Maître-Assistant à celui de Maître de Conférences ou de Maître de Conférences agrégé que de désagréger un préjugé.
Que dire alors du grade de Professeur Titulaire qui (inter)vient après le grade de Maître de Conférences agrégé ou de Maître de Conférences tout court ?
Le Professeur Titulaire est le dépositaire de la compétence universitaire qui garantit l’universalité de l’Université. Le Professeur Titulaire est un Universitaire hors-hiérarchie appelé à jouer le rôle de chef d’orchestre dans tous les compartiments scientifiques et pédagogiques de l’Université. Puissance tutélaire pour les jeunes chercheurs, le Professeur Titulaire a ainsi le devoir de sauvegarder et de faire valoir les valeurs fondatrices de l’Université.
C’est le lieu de féliciter les 171 Maîtres-Assistants, 71 Maîtres de Conférences et 47 Professeurs Titulaires que compte l’UAO pour les prouesses réalisées au CAMES.
En effet, en parcourant le cahier des palmarès des examens et concours du CAMES, l’on peut y lire :
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Médecine ;
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Sciences de Gestion ;
-Cent pour cent (100%) au concours d’Agrégation de Sciences juridiques ;
Cent pour cent (100%) aux CTS Lettres et Sciences Humaines pour les Maîtres de Conférences et les Professeurs Titulaires.
Grâce à ces résultats qui honorent à la fois l’Institution et le nom qu’elle porte, l’Université Alassane Ouattara peut se targuer d’être aujourd’hui une Université qui a fait de l’excellence une praxis au sens francfortien du terme.
Ces prouesses, nous les devons aussi à tous ceux qui, au cours de l’année universitaire 1992-1993, ont tracé les sillons de notre Institution, entendez les Pionniers de l’Université de Bouaké devenue Université Alassane Ouattara. Il s’agit précisément des Professeurs Kouakou N’guessan François, 1er Président de l’Université de Bouaké, Niamkey Koffi, 1er Directeur de l’École des Lettres, Okou Légré, 1er Directeur de l’École de Droit, Lazare POAME, Yapi Ayénon, Francis Akindès, Abé N’doumi, des Maîtres de Conférences Aka Bédia, des Docteurs Hélène Koffi, Bini Kouakou, Yapi Jacob, Bohué Martin, Yéssoh Bragahi, Cissé Hamadou, Apkoué Kouassi, Brou Kouadio, Sakanou Benoît, Touré Tinnin, Koné Ismaël, Messieurs Touré Tamikolo, 1er Secrétaire Principal, Yao Paul…
Ces hommes et ces femmes Pionniers recevront des parchemins pour avoir ouvert, dans des conditions de travail extrêmement difficiles, l’Université et les chemins de l’excellence scientifique et éthicologique.
À côté de ces prouesses, certains Enseignants-Chercheurs seront récompensés en raison de la singularité de leur posture dans la hiérarchie universitaire et d’autres, pour l’effort de vulgarisation scientifique de leurs travaux.
Nous ne saurions terminer notre propos sans remercier chaleureusement le Comité d’organisation de cette cérémonie et tous ceux qui ont effectué le déplacement pour partager avec nous ces instants uniques dans l’histoire de l’UAO. Ces propos s’adressent particulièrement à Monsieur le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Kpangni Moro Albert, à Monsieur le Président de l’Université de Korhogo, Adama Coulibaly, Monsieur le Représentant du Préfet de Région, Djandet Lorgn, toujours présent à nos côtés, Monsieur le Maire Nicolas Djibo de la commune de Bouaké, Madame la Directrice du CROU de Bouaké, Madame Brou Kouassi, qui forme avec nous un couple académique exemplaire.
Mesdames et Messieurs, à l’orée de 2016, nous formons le vœu de voir disparaître dans les années à venir l’idée persistante selon laquelle si les ressources humaines sont notre puissance, les infrastructures demeurent notre impuissance.
Je vous remercie.
Prof. Lazare POAME
Président de l’Université Alassane Ouattara