Le Réseau des journalistes pour la nutrition, dénommé Nutrimédia, vient d’être crée à l’issue d’un atelier qui s’est déroulé de lundi à mardi à Abidjan, en présence de la directrice du Programme national de nutrition (PNN), Dr N’Goran Yoboué Patricia, et de Mme Ba Binta N’Diaye, représentant la Banque africaine de développement (BAD), le partenaire financier de ce forum qui portait sur l’Alimentation du nourrisson et du jeune enfant (ANJE).
Le tout premier président de ce ‘’nouveau-né’’ porté à la tête de l’organisation par ses pairs, Sidibé Touayourou de Maféré, a promis de ‘’rendre visibles les actions menées dans le domaine de la nutrition’’ et de ‘’former constamment les ambassadeurs que sont les journalistes pour que ceux-ci puissent, à leur tour, informer convenablement les populations sur les bonnes pratiques nutritionnelles’’.
En Côte d’Ivoire, selon l’Enquête démographique et de santé (EDS) 2012, un enfant sur trois souffre de retard de croissance, 75% des enfants d’un à cinq ans et 54% des femmes en âge de procréer sont anémiés, tandis qu’une femme sur quatre est en surpoids, relève-t-on.
Pour un pays de plus en plus confronté au double fardeau de la malnutrition marqué d’une part par la dénutrition et d’autre part par les problèmes croissants de surnutrition et leurs corollaires de maladies chroniques non transmissibles comme l’hypertension artérielle et le diabète, la vingtaine de membres fondateurs de ce réseau provenant de tous les média a ainsi décidé d’apporter sa contribution dans la lutte contre ce fléau qui fait perdre annuellement environ 15.000 milliards de FCFA aux communautés et à l’Etat.
Lors d’un séminaire préparatoire qui a eu lieu du 9 au 11 décembre à Dabou (sud, région des Grands ponts), de l’avis de certains responsables, les priorités, en 2016, de Nutrimédia qui tendra incessamment vers une Organisation de la société civile (OSC) seront d’accompagner les cantines scolaires dans le nord de la Côte d’Ivoire et de se pencher sur les pompes à eau dans le nord-est du pays, rappelle-t-on.
kkp/tm
Le tout premier président de ce ‘’nouveau-né’’ porté à la tête de l’organisation par ses pairs, Sidibé Touayourou de Maféré, a promis de ‘’rendre visibles les actions menées dans le domaine de la nutrition’’ et de ‘’former constamment les ambassadeurs que sont les journalistes pour que ceux-ci puissent, à leur tour, informer convenablement les populations sur les bonnes pratiques nutritionnelles’’.
En Côte d’Ivoire, selon l’Enquête démographique et de santé (EDS) 2012, un enfant sur trois souffre de retard de croissance, 75% des enfants d’un à cinq ans et 54% des femmes en âge de procréer sont anémiés, tandis qu’une femme sur quatre est en surpoids, relève-t-on.
Pour un pays de plus en plus confronté au double fardeau de la malnutrition marqué d’une part par la dénutrition et d’autre part par les problèmes croissants de surnutrition et leurs corollaires de maladies chroniques non transmissibles comme l’hypertension artérielle et le diabète, la vingtaine de membres fondateurs de ce réseau provenant de tous les média a ainsi décidé d’apporter sa contribution dans la lutte contre ce fléau qui fait perdre annuellement environ 15.000 milliards de FCFA aux communautés et à l’Etat.
Lors d’un séminaire préparatoire qui a eu lieu du 9 au 11 décembre à Dabou (sud, région des Grands ponts), de l’avis de certains responsables, les priorités, en 2016, de Nutrimédia qui tendra incessamment vers une Organisation de la société civile (OSC) seront d’accompagner les cantines scolaires dans le nord de la Côte d’Ivoire et de se pencher sur les pompes à eau dans le nord-est du pays, rappelle-t-on.
kkp/tm