Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) a salué, dimanche, la grâce présidentielle accordée à plus de 3000 prisonniers de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, estimant que celle-ci "concoure à la décrispation sociale" dans le pays.
Le Président Alassane Ouattara "vient d’user de son droit de grâce que lui donne la Constitution Ivoirienne pour autoriser la mise en liberté de plus de 3000 prisonniers", écrit dans une déclaration transmise à APA, le porte-parole du RDR, Joël N’guessan.
Quelques jours auparavant, rappelle-t-il, "des dizaines de personnes, dirigeants de partis politiques accusés, pour la plupart, d’activités subversives visant à porter atteinte à la sûreté de l’Etat de Côte d’Ivoire, ont bénéficié de la liberté provisoire en attendant leurs jugements définitifs".
"Toutes ces libérations ont créé le baume aux cœurs des milliers de familles et foyers qui retrouvent avec joie leurs siens", ajoute M. N’guessan, selon qui "les gestes forts posés par le Président Alassane Ouattara méritent d’être salués car ils concourent à la décrispation sociale et confirment sa ferme volonté de pousser les ivoiriens à la dernière marche du vivre ensemble: la réconciliation nationale".
"Notre souhait est que tous les ivoiriens, quelques soient leurs appartenances politiques, religieuses, ethniques ou sociales comprennent la profondeur des actes de réconciliation posés par le Président Alassane Ouattara", conclut le porte-parole.
Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé, jeudi soir, dans son message de nouvel an, une grâce présidentielle pour 3100 détenus de la crise postélectorale.
"(...) Cette décision permettra à des milliers de détenus de recouvrer immédiatement la liberté et à d’autres de voir leur peine réduite. Il s’agit au total de 3.100 personnes. (…) J’invite donc tous mes concitoyens à saisir cette nouvelle opportunité en vue d’un rassemblement de la nation et de la consolidation de la paix ", a conclu Alassane Ouattara.
Cette décision intervient alors que le procès conjoint de Laurent Gbagbo détenu depuis fin novembre 2011 à la Haye et de son ex-ministre de la jeunesse Charles Blé Goudé, s’ouvre le 28 janvier prochain devant la Cour pénale internationale (CPI).
LS/APA
Le Président Alassane Ouattara "vient d’user de son droit de grâce que lui donne la Constitution Ivoirienne pour autoriser la mise en liberté de plus de 3000 prisonniers", écrit dans une déclaration transmise à APA, le porte-parole du RDR, Joël N’guessan.
Quelques jours auparavant, rappelle-t-il, "des dizaines de personnes, dirigeants de partis politiques accusés, pour la plupart, d’activités subversives visant à porter atteinte à la sûreté de l’Etat de Côte d’Ivoire, ont bénéficié de la liberté provisoire en attendant leurs jugements définitifs".
"Toutes ces libérations ont créé le baume aux cœurs des milliers de familles et foyers qui retrouvent avec joie leurs siens", ajoute M. N’guessan, selon qui "les gestes forts posés par le Président Alassane Ouattara méritent d’être salués car ils concourent à la décrispation sociale et confirment sa ferme volonté de pousser les ivoiriens à la dernière marche du vivre ensemble: la réconciliation nationale".
"Notre souhait est que tous les ivoiriens, quelques soient leurs appartenances politiques, religieuses, ethniques ou sociales comprennent la profondeur des actes de réconciliation posés par le Président Alassane Ouattara", conclut le porte-parole.
Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé, jeudi soir, dans son message de nouvel an, une grâce présidentielle pour 3100 détenus de la crise postélectorale.
"(...) Cette décision permettra à des milliers de détenus de recouvrer immédiatement la liberté et à d’autres de voir leur peine réduite. Il s’agit au total de 3.100 personnes. (…) J’invite donc tous mes concitoyens à saisir cette nouvelle opportunité en vue d’un rassemblement de la nation et de la consolidation de la paix ", a conclu Alassane Ouattara.
Cette décision intervient alors que le procès conjoint de Laurent Gbagbo détenu depuis fin novembre 2011 à la Haye et de son ex-ministre de la jeunesse Charles Blé Goudé, s’ouvre le 28 janvier prochain devant la Cour pénale internationale (CPI).
LS/APA