Le porte-parole du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) Kouassi Adjoumani a estimé mardi qu’"il est dangereux de parler de succession" du président Alassane Ouattara, appelant les partis membres de la coalition au pouvoir à ne pas se "chamailler pour des postes lointains", à ALERTE INFO.
"Aujourd’hui, nous avons besoin de nous mettre ensemble plutôt que de nous chamailler pour des postes qui sont lointains. Il est dangereux de parler de succession alors que M. Ouattara entame son deuxième mandat", a affirmé M. Adjoumani.
Le président du PDCI, Henri Konan Bédié qui souhaite une alternance au pouvoir en 2020 entre sa formation politique et le RDR, a appelé mi-novembre à un "grand parti unifié" avec ses autres alliés membres du RHDP (Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix), un projet qui avait suscité des commentaires au sein de la coalition au pouvoir.
L’appel à "l’apaisement" de M. Bédié "a été entendu et c’est une grande satisfaction pour nous", s’est réjoui le porte-parole du PDCI, précisant qu’il revenait à MM. Bédié et Ouattara qui "sont en phase de dire le compromis qui a été arrêté" au sujet du parti unifié.
Le PDCI qui a dénoncé des "tapages" au sein de la coalition après la sortie de M. Bédié a appelé à "l’apaisement" au sujet de ce projet.
Mi-décembre, le parti de M. Ouattara a proposé la mise en place d’"un comité" en vue de réfléchir sur la possibilité de la création de ce parti réunifié.
Le PDCI qui a soutenu le RDR à l’élection présidentielle de 2010, contre l’ex-président Laurent Gbagbo, détenu à La Haye pour "crimes contre l’humanité", a également contribué à la réélection de M. Ouattara en 2015 pour un second mandat.
EFI
"Aujourd’hui, nous avons besoin de nous mettre ensemble plutôt que de nous chamailler pour des postes qui sont lointains. Il est dangereux de parler de succession alors que M. Ouattara entame son deuxième mandat", a affirmé M. Adjoumani.
Le président du PDCI, Henri Konan Bédié qui souhaite une alternance au pouvoir en 2020 entre sa formation politique et le RDR, a appelé mi-novembre à un "grand parti unifié" avec ses autres alliés membres du RHDP (Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix), un projet qui avait suscité des commentaires au sein de la coalition au pouvoir.
L’appel à "l’apaisement" de M. Bédié "a été entendu et c’est une grande satisfaction pour nous", s’est réjoui le porte-parole du PDCI, précisant qu’il revenait à MM. Bédié et Ouattara qui "sont en phase de dire le compromis qui a été arrêté" au sujet du parti unifié.
Le PDCI qui a dénoncé des "tapages" au sein de la coalition après la sortie de M. Bédié a appelé à "l’apaisement" au sujet de ce projet.
Mi-décembre, le parti de M. Ouattara a proposé la mise en place d’"un comité" en vue de réfléchir sur la possibilité de la création de ce parti réunifié.
Le PDCI qui a soutenu le RDR à l’élection présidentielle de 2010, contre l’ex-président Laurent Gbagbo, détenu à La Haye pour "crimes contre l’humanité", a également contribué à la réélection de M. Ouattara en 2015 pour un second mandat.
EFI