Les embouteillages sur le tronçon Sir - Akwaba, dans la commune de Port-Bouët, ont pris de l’ampleur en raison des travaux d’élargissement. Conséquence, depuis quelques mois le trafic ne fonctionne plus normalement, selon le constat de Actu routes.
Si le tronçon Sir- Entrée de Vridi Cité est achevé, les automobilistes vivent un calvaire entre le feu de la Sodeci et le cimetière de Port-Bouët. Car, l’une des deux voies reste interdite à la circulation. Du coup, tous les automobilistes se rabattent sur l’autre voie. Le problème à ce sujet est qu’il n’y a pas de «place de stationnement» de part et d’autre de ladite voie, déplorent des chauffeurs de woro-woro. «Je faisais la ligne Port Bouët-Port. Mais, à cause des embouteillages, j’ai abandonné. Je fais Port Bouët-Gonzagueville», révèle K. Mady, un chauffeur. «Ce qu’on ne comprend pas, il n’est pas prévu des lieux pour stationner. L’élévation de ciment qui borde la route est haute. Donc, on est obligé de garer sur la route pour charger ou laisser descendre des clients», explique Bernard Zézé. Selon qui, «rares sont les chauffeurs qui peuvent faire plus de cinq voyages dans la journée». Résultat, des véhicules passent des heures dans cet engrenage.
Toujours selon Actu routes, les travaux avancent, certes. Mais, au rythme où ils se déroulent, qui pourra bien fixer la date de leur achèvement ? Le tronçon Petit Bassam- Cimetière de Port Bouet a reçu la coulée de bitume. Toutefois, les caniveaux qui longent les voies ne sont pas entièrement creusés. Et en attendant, ce sont les usagers de ce tronçon qui supportent tant bien que mal leur calvaire.
Constant Dossou
Si le tronçon Sir- Entrée de Vridi Cité est achevé, les automobilistes vivent un calvaire entre le feu de la Sodeci et le cimetière de Port-Bouët. Car, l’une des deux voies reste interdite à la circulation. Du coup, tous les automobilistes se rabattent sur l’autre voie. Le problème à ce sujet est qu’il n’y a pas de «place de stationnement» de part et d’autre de ladite voie, déplorent des chauffeurs de woro-woro. «Je faisais la ligne Port Bouët-Port. Mais, à cause des embouteillages, j’ai abandonné. Je fais Port Bouët-Gonzagueville», révèle K. Mady, un chauffeur. «Ce qu’on ne comprend pas, il n’est pas prévu des lieux pour stationner. L’élévation de ciment qui borde la route est haute. Donc, on est obligé de garer sur la route pour charger ou laisser descendre des clients», explique Bernard Zézé. Selon qui, «rares sont les chauffeurs qui peuvent faire plus de cinq voyages dans la journée». Résultat, des véhicules passent des heures dans cet engrenage.
Toujours selon Actu routes, les travaux avancent, certes. Mais, au rythme où ils se déroulent, qui pourra bien fixer la date de leur achèvement ? Le tronçon Petit Bassam- Cimetière de Port Bouet a reçu la coulée de bitume. Toutefois, les caniveaux qui longent les voies ne sont pas entièrement creusés. Et en attendant, ce sont les usagers de ce tronçon qui supportent tant bien que mal leur calvaire.
Constant Dossou