Zuénoula – « Zuénoula FM », la seule radio de proximité du département de Zuénoula n’émet plus depuis plus de deux mois pour des raisons que les responsables de la mairie refusent d’évoquer, a constaté l’AIP sur place.
Dans les locaux de la radio locale sise à la mairie de la ville, aucun personnel ne reçoit comme il y a peu de temps. Les bureaux sont déserts, pas d’animateurs ni de techniciens. Le directeur de la radio a démissionné, nous fait-on savoir, depuis le début de cette rentrée scolaire. Le sujet semble tabou chez les responsables de la mairie et pourtant des agents qui préfèrent garder l’anonymat énoncent des raisons.
Pour certains, l’ancien directeur serait parti parce que les autorités municipales lui aurait arraché la gestion financière, quand pour d’autres cette fermeture est due à la mauvaise gouvernance de la radio. Par ailleurs des indiscrétions avancent que le maire veut donner la gestion à un particulier pour rétablir la radio locale, dont le matériel technique est vétuste et mal entretenu avec des agents qui disent ne pas être rémunérés suffisamment.
Face à ces raisons pas encore avérées, la radio reste fermée et les auditeurs privés de leurs émissions préférées.
(AIP)
akr/tad/kam
Dans les locaux de la radio locale sise à la mairie de la ville, aucun personnel ne reçoit comme il y a peu de temps. Les bureaux sont déserts, pas d’animateurs ni de techniciens. Le directeur de la radio a démissionné, nous fait-on savoir, depuis le début de cette rentrée scolaire. Le sujet semble tabou chez les responsables de la mairie et pourtant des agents qui préfèrent garder l’anonymat énoncent des raisons.
Pour certains, l’ancien directeur serait parti parce que les autorités municipales lui aurait arraché la gestion financière, quand pour d’autres cette fermeture est due à la mauvaise gouvernance de la radio. Par ailleurs des indiscrétions avancent que le maire veut donner la gestion à un particulier pour rétablir la radio locale, dont le matériel technique est vétuste et mal entretenu avec des agents qui disent ne pas être rémunérés suffisamment.
Face à ces raisons pas encore avérées, la radio reste fermée et les auditeurs privés de leurs émissions préférées.
(AIP)
akr/tad/kam