OBJET : Droit de réponse
Monsieur le Directeur de Publication,
Dans vos publications du jeudi 17 décembre 2015, vous m’accusez de détenir un faux doctorat. Mon diplôme serait un faux au regard des dispositions de l’ordonnance N˚20 2011-007 DU 14 avril 20111 portant annulation d’actes règlementaires et individuels.
La profession de journaliste a deux piliers fondamentaux, s’il en faut : la vérification de la véracité des faits que l’on énonce et l’impartialité de celui qui porte l’information.
Lorsque vous avez été « instruits» de denoncer la fausseté de mon doctorat par des personnes tapis dans l’ombre ; la vérification de la véracité de vos sources aurait commandé que vous vous rapprochiez de moi, afin de recueillir ma version des faits.
Vous ne l’avez pas fait, alors même que vous n’avez pas l’excuse de ne pas pouvoir m’identifier formellement, ni celle de ne pas savoir me localiser géographiquement, puisque toutes ces informations sont contenues dans votre article qui me désigne à la vindicte populaire.
Vous avez été l’instrument inique de la haine irraisonnée d’un inquisiteur qui n’a pas le courage de ses accusations.
Si vous aviez pris le soin de m’interroger, vous auriez su que la soutenance d’un doctorat ne requiert aucun acte règlementaire d’aucune autorité.
Il existait un jury présidé par une personne ayant toute compétence en la matière. C’est ce jury qui conformément aux règles de fonctionnement de l’université et à son pouvoir souverain a décidé de la date de ma soutenance.
Je n’avais par ailleurs aucun moyen légal ou pédagogique de m’y soustraire, sauf à refuser de passer ma thèse et à me faire sanctionner pour ce faire.
La soutenance faite partie des activités académiques normales d’une université qui fonctionne et l’université de Cocody fonctionnait normalement, lorsque j’ai soutenu ma thèse de doctorat.
Le journaliste que vous êtes n’a certainement pas oublié que l’Université de Cocody n’a été officiellement fermée qu’en avril 2011, ceci seulement en raison de ses travaux de réhabilitation. Elle était donc parfaitement en fonction, le 26 févier 2011, lorsque j’ai soutenu ma thèse de doctorat.
Aucune décision d’aucune juridiction, ni d’aucune autre autorité compétente n’a remis en cause la validité de mon diplôme.
Vous n’êtes ni une juridiction ni une autorité administrative en charge de la vérification de la validité des diplômes.
En conséquence, vous vous êtes rendus coupable à mon égard de diffamation. En effet vous avez propagé sur moi des propos totalement infondés, sans raison valable et sans avoir jamais pris la peine d’en vérifier la véracité.
Au vu, ne serait-ce que de ce qui précède, j’exige que dans les plus brefs délais, vous rétablissiez la vérité à la hauteur de le campagne de dénonciation calomnieuse dont j’ai été victime de votre part.
En publiant ce droit de réponse dans votre journal au même emplacement que celui de l’article calomnieux a été écrit sur moi.
A défaut, je me réserve le droit d’avoir recours á la justice.
Je sais que vous vous rendez compte des dommages incommensurables que j’ai subis ; car je suis enseignant et intervient tous les jours devant plusieurs centaines d’étudiants et que votre sens de l’honneur et de la justice vous commanderont d’essayer de réparer l’injustice dont je suis l’objet.
Il conviendrait, bien entendu de m’informer de la date de parution de mon droit de réponse.
Je sais pouvoir compter sur votre compréhension et vous prie d’agréer, Monsieur Directeur de Publication, mes salutations cordiales.
Docteur SIDIBE DAOUDA ,
Maitre-assistant à l’UFR Biosciences de l’Université Félix Houphouet Boigny
08951110/ 05556841
Monsieur le Directeur de Publication,
Dans vos publications du jeudi 17 décembre 2015, vous m’accusez de détenir un faux doctorat. Mon diplôme serait un faux au regard des dispositions de l’ordonnance N˚20 2011-007 DU 14 avril 20111 portant annulation d’actes règlementaires et individuels.
La profession de journaliste a deux piliers fondamentaux, s’il en faut : la vérification de la véracité des faits que l’on énonce et l’impartialité de celui qui porte l’information.
Lorsque vous avez été « instruits» de denoncer la fausseté de mon doctorat par des personnes tapis dans l’ombre ; la vérification de la véracité de vos sources aurait commandé que vous vous rapprochiez de moi, afin de recueillir ma version des faits.
Vous ne l’avez pas fait, alors même que vous n’avez pas l’excuse de ne pas pouvoir m’identifier formellement, ni celle de ne pas savoir me localiser géographiquement, puisque toutes ces informations sont contenues dans votre article qui me désigne à la vindicte populaire.
Vous avez été l’instrument inique de la haine irraisonnée d’un inquisiteur qui n’a pas le courage de ses accusations.
Si vous aviez pris le soin de m’interroger, vous auriez su que la soutenance d’un doctorat ne requiert aucun acte règlementaire d’aucune autorité.
Il existait un jury présidé par une personne ayant toute compétence en la matière. C’est ce jury qui conformément aux règles de fonctionnement de l’université et à son pouvoir souverain a décidé de la date de ma soutenance.
Je n’avais par ailleurs aucun moyen légal ou pédagogique de m’y soustraire, sauf à refuser de passer ma thèse et à me faire sanctionner pour ce faire.
La soutenance faite partie des activités académiques normales d’une université qui fonctionne et l’université de Cocody fonctionnait normalement, lorsque j’ai soutenu ma thèse de doctorat.
Le journaliste que vous êtes n’a certainement pas oublié que l’Université de Cocody n’a été officiellement fermée qu’en avril 2011, ceci seulement en raison de ses travaux de réhabilitation. Elle était donc parfaitement en fonction, le 26 févier 2011, lorsque j’ai soutenu ma thèse de doctorat.
Aucune décision d’aucune juridiction, ni d’aucune autre autorité compétente n’a remis en cause la validité de mon diplôme.
Vous n’êtes ni une juridiction ni une autorité administrative en charge de la vérification de la validité des diplômes.
En conséquence, vous vous êtes rendus coupable à mon égard de diffamation. En effet vous avez propagé sur moi des propos totalement infondés, sans raison valable et sans avoir jamais pris la peine d’en vérifier la véracité.
Au vu, ne serait-ce que de ce qui précède, j’exige que dans les plus brefs délais, vous rétablissiez la vérité à la hauteur de le campagne de dénonciation calomnieuse dont j’ai été victime de votre part.
En publiant ce droit de réponse dans votre journal au même emplacement que celui de l’article calomnieux a été écrit sur moi.
A défaut, je me réserve le droit d’avoir recours á la justice.
Je sais que vous vous rendez compte des dommages incommensurables que j’ai subis ; car je suis enseignant et intervient tous les jours devant plusieurs centaines d’étudiants et que votre sens de l’honneur et de la justice vous commanderont d’essayer de réparer l’injustice dont je suis l’objet.
Il conviendrait, bien entendu de m’informer de la date de parution de mon droit de réponse.
Je sais pouvoir compter sur votre compréhension et vous prie d’agréer, Monsieur Directeur de Publication, mes salutations cordiales.
Docteur SIDIBE DAOUDA ,
Maitre-assistant à l’UFR Biosciences de l’Université Félix Houphouet Boigny
08951110/ 05556841