Abidjan, 21 jan (AIP)- Le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan, a marqué, à l’issue de sa rencontre jeudi, avec le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, sa satisfaction, indiquant avoir eu une rencontre « instructive » et « positive » qui vient marquer « un nouveau départ » dans la politique ivoirienne.
« C’est une rencontre qui a été très instructive, positive », s’est notamment félicité M. Affi N’Gessan à sa sortie, estimant que la réunion, « par son contenu et par sa qualité, marque une autre étape, une autre phase du processus démocratique dans notre pays ».
Entouré de quatre de ses collaborateurs dont le secrétaire général du parti, Agnès Monnet, le président du FPI a échangé durant un peu plus de trois heures de temps avec le Président Ouattara, qui avait pour sa part à ses côtés, notamment ses ministres en charge du dialogue avec l’Opposition, Ahoussou Jeannot, et de l’Intérieur de la Sécurité, Hamed Bakayoko.
Toutes les questions touchant la vie de la nation, entre autres, celle de réconciliation nationale et de la consolidation de la démocratie ont été abordée durant cette rencontre, a fait savoir M Affi N’Guessan, se réjouissant de « réelles avancées ».
Sur l’ensemble des sujets relatifs à la crise postélectorale, le président du FPI a dit avoir noté la bonne disposition du chef de l’Etat en faveur d’un règlement définitif de tous les problèmes, dont celui des détenus, des exilés et du dégel des avoirs de certains cadres de son parti, mais aussi de certaines personnalités de l’opposition.
Sur le cas des détenus, « le principe est acquis et nous avons présenté la liste des derniers prisonniers qui devaient être libérés. Le président de la République a marqué son accord de principe », a relevé Affi N’Guessan, précisant qu’il ne reste plus au parti qu’à confronter ses chiffres avec ceux du gouvernement. « Nous allons dans les jours à venir regarder ensemble », a-t-il annoncé.
Concernant la question de la consolidation de la démocratie, la délégation du FPI et celle du gouvernement ont traité notamment des sujets du financement des partis politiques, des législatives à venir pour lesquelles le parti propose « des ajustements » au niveau du découpage électoral.
Le FPI suggère que « pour l’ensemble de l’opposition, les mesures exceptionnelles qui ont été prises en 2015 pour financer les partis soient reconduites en attendant les élections législatives à venir qui permettront d’asseoir des règles claires et objectives de financement », a également traduit Affi N’Guessan.
La dernière rencontre directe entre le FPI et le président de la République remonte à 2011, rappelle-t-on.
kg/akn/tm
« C’est une rencontre qui a été très instructive, positive », s’est notamment félicité M. Affi N’Gessan à sa sortie, estimant que la réunion, « par son contenu et par sa qualité, marque une autre étape, une autre phase du processus démocratique dans notre pays ».
Entouré de quatre de ses collaborateurs dont le secrétaire général du parti, Agnès Monnet, le président du FPI a échangé durant un peu plus de trois heures de temps avec le Président Ouattara, qui avait pour sa part à ses côtés, notamment ses ministres en charge du dialogue avec l’Opposition, Ahoussou Jeannot, et de l’Intérieur de la Sécurité, Hamed Bakayoko.
Toutes les questions touchant la vie de la nation, entre autres, celle de réconciliation nationale et de la consolidation de la démocratie ont été abordée durant cette rencontre, a fait savoir M Affi N’Guessan, se réjouissant de « réelles avancées ».
Sur l’ensemble des sujets relatifs à la crise postélectorale, le président du FPI a dit avoir noté la bonne disposition du chef de l’Etat en faveur d’un règlement définitif de tous les problèmes, dont celui des détenus, des exilés et du dégel des avoirs de certains cadres de son parti, mais aussi de certaines personnalités de l’opposition.
Sur le cas des détenus, « le principe est acquis et nous avons présenté la liste des derniers prisonniers qui devaient être libérés. Le président de la République a marqué son accord de principe », a relevé Affi N’Guessan, précisant qu’il ne reste plus au parti qu’à confronter ses chiffres avec ceux du gouvernement. « Nous allons dans les jours à venir regarder ensemble », a-t-il annoncé.
Concernant la question de la consolidation de la démocratie, la délégation du FPI et celle du gouvernement ont traité notamment des sujets du financement des partis politiques, des législatives à venir pour lesquelles le parti propose « des ajustements » au niveau du découpage électoral.
Le FPI suggère que « pour l’ensemble de l’opposition, les mesures exceptionnelles qui ont été prises en 2015 pour financer les partis soient reconduites en attendant les élections législatives à venir qui permettront d’asseoir des règles claires et objectives de financement », a également traduit Affi N’Guessan.
La dernière rencontre directe entre le FPI et le président de la République remonte à 2011, rappelle-t-on.
kg/akn/tm