Abidjan – La ministre de l’Education nationale sollicite une forte implication des parents dans la lutte accrue contre les violences et les grossesses en milieu scolaire.
Présidant les activités marquant le 20ème anniversaire du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES), jeudi à Abidjan, Kandia Camara a demandé le concours de tous les acteurs de l’école dans la lutte contre ces fléaux, ajoutant que l’école doit demeurer un cadre de sécurité et un environnement propice à l’apprentissage pour les enfants. Elle s’est félicité des résultats obtenus par les COGES, convaincue que sa redynamisation « donnera assurément naissance à une école ivoirienne résolument engagée dans une vision décentralisée de l’institution scolaire ».
Pour la ministre Kandia, la dynamique doit se poursuivre en intégrant les nouveaux défis liés notamment à la gratuité de l’école et au programme de l’école obligatoire. Elle a indiqué que l’Etat ayant accru l’offre éducative pour un accès équitable et un maintien des enfants dans le cursus jusqu’au premier cycle du secondaire, il appartient à la communauté d’entretenir les locaux mis à disposition, réparer les mobiliers et les équipements dégradés, soutenir les cantines et assurer le suivi et l’encadrement des enfants à la maison.
A ce jour, rappelle-t-on, 10 000 COGES fonctionnent sur l’ensemble du territoire national.
ik/kp
Présidant les activités marquant le 20ème anniversaire du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES), jeudi à Abidjan, Kandia Camara a demandé le concours de tous les acteurs de l’école dans la lutte contre ces fléaux, ajoutant que l’école doit demeurer un cadre de sécurité et un environnement propice à l’apprentissage pour les enfants. Elle s’est félicité des résultats obtenus par les COGES, convaincue que sa redynamisation « donnera assurément naissance à une école ivoirienne résolument engagée dans une vision décentralisée de l’institution scolaire ».
Pour la ministre Kandia, la dynamique doit se poursuivre en intégrant les nouveaux défis liés notamment à la gratuité de l’école et au programme de l’école obligatoire. Elle a indiqué que l’Etat ayant accru l’offre éducative pour un accès équitable et un maintien des enfants dans le cursus jusqu’au premier cycle du secondaire, il appartient à la communauté d’entretenir les locaux mis à disposition, réparer les mobiliers et les équipements dégradés, soutenir les cantines et assurer le suivi et l’encadrement des enfants à la maison.
A ce jour, rappelle-t-on, 10 000 COGES fonctionnent sur l’ensemble du territoire national.
ik/kp