Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le Président de l'Union pour la démocratie et la paix en Côte d'Ivoire (UDPCI), Dr Abdallah Albert Toikeusse Mabri a expliqué, samedi, à Abidjan l'importance du référendum constitutionnel que la pays s'apprête à organiser au cours de cette année pour "fonder sa troisième République".
"Au nombre des perspectives, vous savez également que la Côte d'Ivoire connaîtra en 2016, le référendum sur la constitution. Nous aurons l'occasion certainement en bureau politique, de discuter des projets de textes qui seront soumis à l'examen et donc à l'adoption de nos concitoyens", a déclaré M. Mabri lors d'une cérémonie d'échanges de vœux avec les militants de son parti.
"Ce référendum sera important puisqu'il devra fonder la troisième République", a-t-il souligné, estimant que "l'UDPCI ne devra pas restée insensible à tout ce qui se passera dans ce cadre".
Pour Dr Abdallah Albert Toikeusse Mabri, nouvellement nommé ministre des affaires étrangères dans le nouveau gouvernement, "nous serons en éveil pour que le moment venu, nous attirons l'attention des uns et des autres sur une position que nous devrons adopter".
Elu à une majorité écrasante en octobre dernier pour un deuxième mandat de cinq ans, le Chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé la mise en œuvre de plusieurs réformes intentionnelles dont la révision de la constitution ivoirienne pour enlever des germes "confligènes" contenus dans cette loi fondamentale du pays.
Parlant de ses nouvelles fonctions gouvernementales, M. Mabri s'est engagé à faire "en sorte que dans la grâce de Dieu" la diplomatie qu'il porte soit "gagnante pour la Côte d'Ivoire et des ivoiriens".
"Nous avons la bénédiction du Président de la République pour conduire la diplomatie ivoirienne. La diplomatie d'un pays ambitieux , d'un pays qui veut retrouver sa place dans le concert des nations, d'un pays qui impose au fil des mois et des ans le respect qu'on lui doit, d'un pays qui est écouté et dont l'avis compte au plan international, d'un pays qui se prépare à offrir le meilleur à ses concitoyens", a-t-il expliqué.
Selon lui, "nous avons connu un quinquennat de croissance", mais le "défis majeur de ce deuxième quinquennat est la croissance inclusive c'est-à-dire une croissance que chacun de nous doit ressentir, une croissance que tous les ménages, les plus défavorisés, les femmes et les jeunes doivent ressentir à travers tous les instruments pour qu'on sente que la Côte d'Ivoire avance dans ce bon sens".
LS/APA
"Au nombre des perspectives, vous savez également que la Côte d'Ivoire connaîtra en 2016, le référendum sur la constitution. Nous aurons l'occasion certainement en bureau politique, de discuter des projets de textes qui seront soumis à l'examen et donc à l'adoption de nos concitoyens", a déclaré M. Mabri lors d'une cérémonie d'échanges de vœux avec les militants de son parti.
"Ce référendum sera important puisqu'il devra fonder la troisième République", a-t-il souligné, estimant que "l'UDPCI ne devra pas restée insensible à tout ce qui se passera dans ce cadre".
Pour Dr Abdallah Albert Toikeusse Mabri, nouvellement nommé ministre des affaires étrangères dans le nouveau gouvernement, "nous serons en éveil pour que le moment venu, nous attirons l'attention des uns et des autres sur une position que nous devrons adopter".
Elu à une majorité écrasante en octobre dernier pour un deuxième mandat de cinq ans, le Chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé la mise en œuvre de plusieurs réformes intentionnelles dont la révision de la constitution ivoirienne pour enlever des germes "confligènes" contenus dans cette loi fondamentale du pays.
Parlant de ses nouvelles fonctions gouvernementales, M. Mabri s'est engagé à faire "en sorte que dans la grâce de Dieu" la diplomatie qu'il porte soit "gagnante pour la Côte d'Ivoire et des ivoiriens".
"Nous avons la bénédiction du Président de la République pour conduire la diplomatie ivoirienne. La diplomatie d'un pays ambitieux , d'un pays qui veut retrouver sa place dans le concert des nations, d'un pays qui impose au fil des mois et des ans le respect qu'on lui doit, d'un pays qui est écouté et dont l'avis compte au plan international, d'un pays qui se prépare à offrir le meilleur à ses concitoyens", a-t-il expliqué.
Selon lui, "nous avons connu un quinquennat de croissance", mais le "défis majeur de ce deuxième quinquennat est la croissance inclusive c'est-à-dire une croissance que chacun de nous doit ressentir, une croissance que tous les ménages, les plus défavorisés, les femmes et les jeunes doivent ressentir à travers tous les instruments pour qu'on sente que la Côte d'Ivoire avance dans ce bon sens".
LS/APA