Agboville - Le coordonnateur général de l’inspection générale, de l’Education nationale, Ibrahima Kourouma, dénonce les commanditaires « en sous-main » des mouvements de grève des élèves qui ont perturbé les cours durant une semaine dans les établissements secondaires publics et privés d’Agboville.
« On connaît tous ceux qui agissent en ‘sous-main’ dans cette grève », a révélé M. Kourouma, venu avec une délégation du ministère de l’Education nationale pour échanger avec les partenaires de l’école d’Agboville sur ces mouvements de grève.
« Nous savons qu’il y a des réunions qui se tiennent aussi bien ici en ville que dans des villages, et cela conduit assez souvent à des ramifications politiques », a fait savoir l’envoyé du ministre de l’Education nationale, Kandia Camara. « On le sait, on les voit », a martelé le coordonnateur général, s’adressant aux élus, à la chefferie et parents d’élèves.
« C’est une organisation qui est mise en place au niveau d’Agboville, pour troubler l’école. On le sait, sinon, personne n’est dupe; (…) que des parents ne viennent pas se plaindre lorsqu’on aura arrêté certaines personnes ! », a-t-il prévenu, avant d’inviter chacun à « sensibiliser dès maintenant » les enfants qui sèment les troubles dans les établissements de la ville.
dd/akn/tm
« On connaît tous ceux qui agissent en ‘sous-main’ dans cette grève », a révélé M. Kourouma, venu avec une délégation du ministère de l’Education nationale pour échanger avec les partenaires de l’école d’Agboville sur ces mouvements de grève.
« Nous savons qu’il y a des réunions qui se tiennent aussi bien ici en ville que dans des villages, et cela conduit assez souvent à des ramifications politiques », a fait savoir l’envoyé du ministre de l’Education nationale, Kandia Camara. « On le sait, on les voit », a martelé le coordonnateur général, s’adressant aux élus, à la chefferie et parents d’élèves.
« C’est une organisation qui est mise en place au niveau d’Agboville, pour troubler l’école. On le sait, sinon, personne n’est dupe; (…) que des parents ne viennent pas se plaindre lorsqu’on aura arrêté certaines personnes ! », a-t-il prévenu, avant d’inviter chacun à « sensibiliser dès maintenant » les enfants qui sèment les troubles dans les établissements de la ville.
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